Amour, impair et manque par T. Sturgeon

Fiche d’Amour, impair et manque

Titre : Amour, impair et manque
Auteur : T. Sturgeon
Date de parution : 1981
Traduction : B. Ferry, P. J. Izabelle, B. Martin, M.-O. Vermeille
Editeur : J.-C. Lattès

Sommaire d’Amour, impair et manque :

  • Amour, impair et manque
  • Les enfants du comédien
  • Un rien d’étrange
  • Synapse seize sur bêta
  • Les étoiles sont vraiment le styx

Première page d’Amour, impair et manque

« Certaines villes semblent ne pas défier seulement le temps, mais également l’évolution. De telles villes existent dans l’arrière-pays, souvent près des grandes cités, et ce n’est pas sans une certaine stupéfaction que le voyageur les découvre. Parfois, un promoteur les découvre également et projette aussitôt d’y adjoindre une multitude de clapiers et de poulaillers baptisés suivant les cas, villas ou fermettes, sans omettre bien entendu le monumental centre commercial en préfabriqué qui donne tout son sens à l’opération. Puis les années passent, le projet moisit dans un tiroir, mais la ville en acquiert une nouvelle solidité, et semble même se cristalliser, au sens chimique du terme. La vie moderne n’a pas de prise sur de telles villes ; change-t-on profondément une armure en coiffant le heaume d’un canotier ?
Là, les magasins sont à l’image de la ville : inattaquables. Têtus, les commerçants continuent à pro- »

Extrait de : T. Sturgeon. « Amour, impair et manque. »

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