Le temps n’a pas d’odeur par G. Klein
Fiche de Le temps n’a pas d’odeurTitre : Le temps n’a pas d’odeur Première page de Le temps n’a pas d’odeur« Sur Altaïr, le grand rectangle noir irradiait une lumière sombre, à la limite du visible. Les ingénieurs du Temps préparaient une expédition, la troisième en moins d’une année. Les anciens se souvenaient d’une époque où les expéditions avaient été moins nombreuses. S’ils avaient eu le goût de la réflexion, ils se seraient inquiétés de cette fréquence nouvelle des explorations temporelles. Mais leur rôle n’était pas de poser des questions, et ils n’y songeaient guère. Sur Altaïr, on était très précis quant aux attributions des différentes spécialités. Le rôle des ingénieurs du Temps était d’ajuster les multitenseurs d’un espace d’Horowitz avec une précision surpassant la seizième décimale. Une partie du résultat pouvait être atteinte à l’aide de machines. Mais pour le reste, Altaïr devait s’en remettre à leur habileté. » Extrait de : G. Klein. « Le temps n’a pas d’odeur. » |