L’épave du Cynthia par J. Verne et A. Laurie
Fiche de L’épave du CynthiaTitre : L’épave du Cynthia Première page de L’épave du Cynthia« L’ami de M. Malarius Il n’y a probablement, ni en Europe ni ailleurs, un savant dont la physionomie soit plus universellement connue que celle du docteur Schwaryencrona, de Stockholm ; son portrait, reproduit par les marchands au-dessous de sa marque de fabrique, sur des millions de bouteilles cachetées de vert, circule avec elles jusqu’aux confins du globe. La vérité oblige à dire que ces bouteilles ne contiennent que de l’huile de foie de morue, médicament estimable et même bienfaisant, qui, pour les habitants de la Norvège, représente tous les ans, en kroners ou « couronnes » de la valeur d’un franc trente-neuf centimes, des totaux de sept à huit chiffres. » Extrait de : J. Verne et A. Laurie. « L’épave du Cynthia. » |