Visions nocturnes par J. Flanders
Fiche de Visions nocturnesTitre : Visions nocturnes Sommaire de Visions nocturnes
Première page de Le fauteuil« J’ai très bien connu Maurice Renard. Chaque fois que je venais à Paris j’allais chez lui rue de Tournon. J’y rencontrais entre autres Georges de la Fouchardière, le père du Bouif, un personnage bien oublié. Et aussi Colette, la grande Colette. Ce qui suit n’est donc pas un simple conte. C’est plutôt un souvenir « littéraire », car je puis y insérer deux noms célèbres dans les lettres françaises : Gaston Leroux et Maurice Renard. Quelques années avant sa mort, je fis, à Paris, la connaissance du célèbre auteur de Rouletabille, au domicile de Maurice Renard, l’auteur du Péril bleu, Le Singe, Un Homme chez les microbes, etc. Quelques années plus tôt, G. Leroux avait publié sa célèbre nouvelle : L’Homme qui a vu le Diable, et durant notre entretien amical nous en sommes venus à en parler… — J’ai trouvé effrayant le mot final de votre récit, dit Maurice Renard. Quand on veut voir sérieusement le diable, on n’a qu’à l’appeler de tout son cœur, il vient. » Extrait de : John Flanders. « Visions nocturnes. » |