Max-André Rayjean

Présentation de Max-André Rayjean :
Jean Lombard, né le 21 octobre 1929 à Valence, est plus connu sous son pseudonyme littéraire, Max-André Rayjean. Il est une figure incontournable de la science-fiction française, ayant marqué son époque par son imagination débordante et ses récits souvent teintés d’humour.
Des débuts prometteurs
C’est dès son adolescence que Jean Lombard se passionne pour la littérature d’aventure, notamment les œuvres publiées par les éditions Ferenczi. Il est particulièrement marqué par l’œuvre de Max-André Dazergues, dont le pseudonyme lui servira d’inspiration pour le sien.
Un auteur prolifique et récompensé
Sous le nom de Max-André Rayjean, il enchaîne les romans, explorant des univers futuristes, des voyages interstellaires et des rencontres avec des civilisations extraterrestres. Son style, à la fois accessible et inventif, séduit un large public.
La qualité de son œuvre est rapidement reconnue par ses pairs et par le grand public. Il est ainsi récompensé à deux reprises par le Grand prix de science-fiction en 1957 et 1974, une distinction qui consacre définitivement son statut d’auteur majeur de la science-fiction française.
Au-delà de la science-fiction
Si Max-André Rayjean est principalement connu pour ses romans de science-fiction, il a également écrit des romans policiers et s’est essayé à la scénarisation de bandes dessinées. Cette diversité témoigne de son talent d’écrivain et de sa capacité à s’adapter à différents genres.
Un héritage durable
L’œuvre de Max-André Rayjean a marqué durablement la littérature de science-fiction française. Ses romans, souvent réédités, continuent d’être appréciés par les amateurs du genre, tant pour leur qualité littéraire que pour leur pouvoir d’évocation.
En résumé, Max-André Rayjean est un auteur complet et passionnant, dont l’œuvre mérite d’être redécouverte.
Livres de Max-André Rayjean :
Aventure supra-universelle :
- Soleils : échelle zéro (1959)
- L’ultra-univers (1960)
Jé Mox :
- Le zoo des Astors (1966)
- Prisonniers du temps (1970)
- Cellule 217 (1971)
- L’arbre de cristal (1972)
- L’autre passé (1972)
- La révolte de Gerkanol (1973)
- Le secret des cyborgs (1974)
- Barrière vivante (1975)
- Les géants de Komor (1976)
- Les germes de l’infini (1976)
- Les métamorphosés de Spalla (1977)
- Le piège de lumière (1977)
- La chaîne des Symbios (1978)
- Les maîtres de la matière (1979)
Les temps binaires :
- Citéléem (1986)
Mac Kerreck :
- Le monde de l’éternité (1959)
- Les anti-hommes (1967)
- Retour au néant (1970)
Maubry et Wayle :
- La folie verte (1958)
- Invasion « H » (1960)
- L’oasis du rêve (1963)
- La fièvre rouge (1961)
- Plan S.03 (1966)
- Contact « Z » (1968)
- Le Zor-Ko de fer (1968)
- S.O.S Cerveaux (1968)
- Base Djéos (1970)
- Les statues vivantes (1972)
- Les feux de Siris (1974)
- Les irréels (1977)
- La onzième dimension (1978)
Alpha-Park (1983)
Attaque sub-terrestre (1956)
Base spatiale 14 (1957)
Chocs en synthèse (1958)
Civilisation « Oméga » (1968)
Dans les griffes du diable (1971)
Déchéa (1981)
Ere cinquième (1959)
Génération Alpha (1978)
Groupe Géo (1980)
Jaïral (1981)
L’âge de lumière (1984)
L’an un des Kréols (1969)
L’anneau des invincibles (1958)
L’astre vivant (1965)
L’astronef rouge (1975)
L’escale des Zulhs (1964)
L’étoile de Goa (1961)
L’ordre des vigiles (1982)
La bête du néant (1970)
La dent du loup (1973)
La guerre des loisirs (1986)
La loi du cube (1972)
La malédiction des vautours (1972)
La seconde vie (1971)
Le cerveau de Silstar (1965)
Le cycle d’Orga (2006)
Le dernier soleil (1987)
Le flambeau de l’univers (1984)
Le grand retour (1974)
Le monde figé (1973)
Le monde noir (1981)
Le péril des hommes (1960)
Le quatrième futur (1967)
Le septième continent (1967)
Les acteurs programmés (1985)
Les clés de l’univers (1966)
Les forçats de l’énergie (1965)
Les magiciens d’Andromède (1961)
Les parias de l’atome (1957)
Les Psycors de Pââl Zuick (1971)
Les singes d’Ulgor (1979)
Planètes captives (1962)
Projet « Kozna » (1964)
Puissance : facteur 3 (1961)
Relais « Kera » (1969)
Round végétal (1964)
Ségrégaria (1975)
Terrom, âge « un » (1963)
Pour en savoir plus sur Max-André Rayjean :
La page Wikipédia de M.-A. Rayjean
La page Noosfere de M.-A. Rayjean
La page isfdb de M.-A. Rayjean