Étiquette : Cycle de Vénus

 

Evasion sur Vénus par E. R. Burroughs

Fiche de Evasion sur Vénus

Titre : Evasion sur Vénus (Tome 4 sur 4 – Le cycle de Vénus)
Auteur : E. R. Burroughs
Date de parution : 1946
Traduction : M. Blond
Editeur :

Première page de Evasion sur Vénus

« Si vous regardez une bonne carte de Vénus, vous verrez que le continent du nom d’Anlap se trouve au nord-ouest de l’île de Vépaja, d’où Duare et moi venions de nous échapper. Et en Anlap se trouve Korva, la contrée amicale vers laquelle je pointai le nez de notre avion.

Bien sûr il n’y a pas de bonne carte de Vénus, du moins je n’en ai jamais vu ; car les savants de l’hémisphère austral de la planète, l’hémisphère où le Hasard avait conduit ma fusée, se font une idée fausse de la forme de leur monde. Ils croient qu’Amtor, ainsi qu’ils le nomment, a la forme d’une soucoupe flottant sur une mer de roche en fusion. C’est une évidence à leurs yeux, car comment expliquer autrement les flots de lave que crachent les cratères des volcans ?

Ils croient aussi que Karbol (le Pays Froid) se trouve à la périphérie de la soucoupe, alors qu’il s’agit en fait de la région antarctique entourant le pôle sud de Vénus. »

Extrait de : E. R. Burroughs. « Evasion sur Vénus – Le cycle de Vénus. »

Carson de Vénus par E. R. Burroughs

Fiche de Carson de Vénus

Titre : Carson de Vénus (Tome 3 sur 4 – Le cycle de Vénus)
Auteur : E. R. Burroughs
Date de parution : 1938
Traduction : M. Blond
Editeur :

Première page de Carson de Vénus

« Tout homme qui a jamais volé se souviendra du frisson de son premier vol au-dessus d’un terrain familier, contemplant de vieilles scènes selon un angle nouveau qui leur conférait un air d’étrangeté et de mystère, comme s’il s’agissait d’un monde nouveau ; mais il restait toujours la réconfortante certitude que l’aéroport n’était pas trop loin et que, même en cas d’atterrissage forcé, on saurait fort bien où il était et comment revenir à la maison.

Mais lors de cette aube où Duare et moi quittâmes Havatoo, accompagnés du bourdonnement saccadé des fusils Amtoriens, je volais véritablement au-dessus d’un monde inconnu ; et il n’y avait pas de terrain d’atterrissage et pas de maison. Je crois que ce fut le moment le plus heureux et le plus exaltant de ma vie. La femme que j’aime venait de me dire qu’elle m’aimait, j’étais à nouveau aux commandes d’un appareil, j’étais libre, je volais sans danger au-dessus des innombrables menaces qui hantent le paysage Amtorien. »

Extrait de : E. R. Burroughs. « Carson de Vénus – Le cycle de Vénus. »

Perdus sur Vénus par E. R. Burroughs

Fiche de Perdus sur Vénus

Titre : Perdus sur Vénus (Tome 2 sur 4 – Le cycle de Vénus)
Auteur : E. R. Burroughs
Date de parution : 1934
Traduction : M. Blond
Editeur :

Première page de Perdus sur Vénus

« À la tête des hommes qui m’avaient capturé, mais ne prenant pas part à la capture, il y avait Moosko, l’Ongyan, et Vilor, l’espion thoriste, qui ensemble avaient ourdi et exécuté l’enlèvement de Duare à bord du Sofal.
Ils avaient atteint le continent, portés par les angans volants, ces étranges hommes ailés de Vénus. (Pour rendre l’histoire plus simple à comprendre, j’abandonne le préfixe pluriel amtorien kl ou kloo et je formerai le pluriel des noms à la manière terrienne : en ajoutant un s.) Le duo avait abandonné Duare à son sort lorsque le groupe avait été attaqué par des sauvages velus, dont j’avais heureusement pu la secourir avec l’aide de l’angan qui l’avait si héroïquement défendue.
Mais à présent, même s’ils l’avaient abandonnée à une mort presque certaine, ils étaient furieux qu’à cause de moi elle eût échappé à leurs griffes et eût été reconduite sur le pont du Sofal par le dernier angan survivant ; et m’ayant en leur pouvoir, dès que quelqu’un d’autre m’eut désarmé, ils retrouvèrent leur courage et m’attaquèrent violemment. »

Extrait de : E. R. Burroughs. « Perdus sur Vénus – Le cycle de Vénus. »

Les pirates de Vénus par E. R. Burroughs

Fiche de Les pirates de Vénus

Titre : Les pirates de Vénus (Tome 1 sur 4 – Le cycle de Vénus)
Auteur : E. R. Burroughs
Date de parution : 1934
Traduction : M. Blond
Editeur :

Première page de Les pirates de Vénus

« Si une silhouette féminine en suaire blanc entre dans votre chambre à minuit le treizième jour de ce mois, répondez à cette lettre ; autrement, n’en faites rien.
 
Ayant lu la lettre jusque-là, j’étais sur le point de la jeter dans la corbeille, où finissent toutes mes lettres de dingues ; mais pour une raison indéterminée je continuai à lire :
 
Si elle vous parle, je vous prie de ne pas oublier ses paroles et de me les répéter lorsque vous écrirez.
 
J’aurais pu continuer à la lire jusqu’à la fin, mais à ce moment-là le téléphone sonna et je laissai tomber la lettre dans un des casiers sur mon bureau. Le hasard voulut que ce fût le casier « affaires réglées » ; et si les événements avaient suivi leur cours normal, cela aurait été le point final pour la lettre et l’incident en ce qui me concernait, car la lettre passa du casier « affaires réglées » aux archives. »

Extrait de : E. R. Burroughs. « Les Pirates de Vénus – Le cycle de Vénus. »