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Commando spatial par R. Barjavel

Fiche de Commando spatial

Titre : Commando spatial
Auteur : R. Barjavel et P. Lamblin
Date de parution : 1967
Editeur : Orion

Première page de Commando spatial

« Où l’on fait connaissance du commandant Cliff McLane et de son équipe

Nous sommes en l’an 2593.

Le monde a bien changé ! Sur la Terre, les États nationaux sont devenus une notion entièrement périmée. Les guerres n’opposent plus les pays du globe, et, depuis plusieurs siècles, si la paix règne enfin, d’autres menaces surgissent du fond de l’Espace.

Associant leurs recherches, mettant en commun leurs inventions, les savants ont fait progresser la science d’une façon fantastique. La Terre devenue trop étroite, les hommes se sont échappés de leur séjour traditionnel.

Désormais l’Humanité unie occupe toutes les planètes du Système Solaire, s’élance vers les étoiles lointaines et habite le fond des océans, aussi bien que les terres. »

Extrait de : R. Barjavel. « Commando spatial. »

L’abomination de Dunwich par H. P. Lovecraft

Fiche de L’abomination de Dunwich

Titre : L’abomination de Dunwich
Auteur : H. P. Lovecraft
Date de parution : 1997
Traduction : Y. Rivière, J. Papy et S. Lamblin
Editeur : J’ai lu

Sommaire de L’abomination de Dunwich

  • L’abomination de Dunwich
  • Je suis d’ailleurs
  • Les rats dans les murs
  • Le modèle de Pickman
  • La musique d’Erich Zann
  • Arthur Jermyn
  • Le molosse
  • La cité sans nom
  • La maison maudite

Première page de L’abomination de Dunwich

« Lorsqu’un voyageur qui parcourt le centre nord du Massachusetts se trompe de direction à l’embranchement de la barrière de péage d’Aylesbury, au-delà de Dean’s Corner, il se trouve dans une région étrange et désolée. Le terrain s’élève peu à peu, les murs de pierre bordés de broussailles se pressent de plus en plus vers les ornières de la route sinueuse et poussiéreuse. Les arbres des forêts semblent trop grands ; les herbes et les ronces manifestent une luxuriance qu’on leur voit rarement dans les pays défrichés. Par contre, les champs cultivés sont particulièrement rares et improductifs, tandis que les vieilles maisons éparses ont toutes le même aspect sordide et délabré. Sans savoir pourquoi, on hésite à demander son chemin aux figures noueuses et solitaires que l’on aperçoit de temps à autre sur une marche de seuil croulante ou dans une prairie déclive jonchée de rocs. Elles sont tellement silencieuses et furtives que l’on a l’impression de se trouver devant des êtres maudits avec lesquels mieux vaut n’avoir point de commerce. Parvenu en haut d’une côte, notre voyageur découvre les collines qui s’érigent au-dessus des bois profonds : alors son malaise indéfinissable s’accroît. Les sommets sont trop arrondis, trop symétriques, pour  »

Extrait de : H. P. Lovecraft. « L’abomination de Dunwich. »