Étiquette : Wall-Romana
Si ce monde vous déplaît … par P. K. Dick
Fiche de Si ce monde vous déplaît …
Titre : Si ce monde vous déplaît …
Auteur : P. K. Dick
Date de parution : 1995
Traduction : C. Wall-Romana
Editeur : L’éclat
Sommaire de Si ce monde vous déplaît …
- Androïde contre humain
- Hommes, androïdes et machines
- Si vous trouvez ce monde mauvais
- Comment construire un univers
Première page de Androïde contre humain
« LA PENSÉE dite primitive a tendance à animer le milieu qui l’entoure. Depuis des années, la psychologie moderne nous incite à retrancher de telles projections anthropomorphiques de ce qui n’est en fait qu’une réalité inanimée et de réintégrer par introjection, c’est-à-dire de renvoyer dans nos têtes, cette qualité de vivant que, par ignorance, nous accordons aux choses inertes autour de nous. On considère cette introjection comme la marque de la maturité réelle de l’individu, et la marque authentique de la civilisation, la distinguant d’une simple culture sociale, comme par exemple dans une tribu. On dit qu’un Africain voit son milieu naturel comme palpitant d’intentions et de vie : mais, en fait, cette vie est en lui-même et, une fois que de telles projections infantiles sont éliminées, il réalise que le monde est mort et que la vie ne réside qu’en lui- »
Extrait de : P. K. Dick. « Si ce monde vous déplaît.. »
Les maîtres de la fosse par M. J. Moorcock
Fiche de Les maîtres de la fosse
Titre : Les maîtres de la fosse (Tome 3 sur 3 – Le guerrier de Mars)
Auteur : M. J. Moorcock
Date de parution : 1969
Traduction : C. Wall-Romana
Editeur : Albin Michel
Première page de Les maîtres de la fosse
« L’expédition aérienne
Je fis un baiser d’adieu à Shizala, loin de me rendre compte que je ne la reverrais pas avant plusieurs mois martiens, puis j’empoignai l’échelle qui menait à la cabine de mon dirigeable, un vaisseau dont j’avais moi-même dessiné les plans.
Shizala était plus que jamais ravissante, une femme des plus féminines qui, sans l’ombre d’un doute, était le plus bel être humain de toute la planète Mars.
Les tours élancées de Varnal, la cité dont j’étais maintenant un bradhinak, ou prince, s’élevaient tout autour de nous dans la lumière du soleil matinal. On pouvait sentir le doux parfum du brouillard, »
Extrait de : M. J. Moorcock. « Le guerrier de Mars – Les Maîtres de la Fosse. »
Le seigneur des araignées par M. J. Moorcock
Fiche de Le seigneur des araignées
Titre : Le seigneur des araignées (Tome 2 sur 3 – Le guerrier de Mars)
Auteur : M. J. Moorcock
Date de parution : 1968
Traduction : C. Wall-Romana
Editeur : Albin Michel
Première page de Le seigneur des araignées
« La plaine désertique
Dès que je suis entré dans le transmetteur, j’ai ressenti une certaine crainte. Je commençai juste de réaliser pleinement ce que je risquais de perdre.
Mais il était trop tard. De votre côté, vous veniez de mettre en marche le transmetteur. À nouveau je me mis à éprouver les sensations familières provoquées par la machine. La seule différence, c’était que cette fois-là, je n’avais aucune certitude sur ma destination ; vous vous souvenez sans doute que lors de mon premier voyage, je pensais que j’allais juste être envoyé au « récepteur » situé dans le même bâtiment que le laboratoire. Mais au lieu de cela, j’avais »
Extrait de : M. J. Moorcock. « Le guerrier de Mars – Le Seigneur des Araignées. »
La cité de la bête par M. J. Moorcock
Fiche de La cité de la bête
Titre : La cité de la bête (Tome 1 sur 3 – Le guerrier de Mars)
Auteur : M. J. Moorcock
Date de parution : 1965
Traduction : C. Wall-Romana
Editeur : Albin Michel
Première page de La cité de la bête
« Ma dette envers M. Clarchet
Le transmetteur de matière, commença Kane, tient à la fois le rôle de héros et de vilain dans cette histoire, puisqu’il m’a emmené sur un monde où je me suis senti chez moi plus que je ne me sentirai jamais ici. Et il m’a conduit à cette jeune fille merveilleuse que j’aime et qui m’aime ; et puis, d’un seul coup, il m’a tout repris.
Mais, je ferais mieux de commencer par le commencement.
Je suis né, comme je vous l’ai dit, dans l’Ohio à Wynnsville, une petite ville charmante et sans histoire. La seule chose un peu insolite qu’on y trouvait, était la personne de M. Clarchet, un Français »
Extrait de : M. J. Moorcock. « Le guerrier de Mars – La Cité de la Bête. »