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Le glaive et l’étalon par M. J. Moorcock

Fiche de Le glaive et l’étalon

Titre : Le glaive et l’étalon (Tome 6 sur 6 – Corum)
Auteur : M. J. Moorcock
Date de parution : 1973
Traduction : P. Couton
Editeur : L’Atalante

Première page de Le glaive et l’étalon

« EN QUÊTE D’ACTIONS D’ÉCLAT

Ils arrivèrent donc à Caer Mahlod ; tous sans exception. Des guerriers de haute stature, vêtus de leurs plus beaux atours, puissamment armés, montés sur de robustes destriers. Ils donnaient une impression de splendeur en même temps que d’efficacité. Les environs de Caer Mahlod resplendissaient des couleurs éclatantes des bannières de samit et des étendards brodés, de l’or des bracelets, de l’argent des fibules qui retenaient les capes, du fer poli des casques, de la nacre incrustée dans les coupes ou les malles de voyage. Ces hommes constituaient la fine fleur des Mabdens ; ils en étaient aussi les derniers représentants, ceux des provinces de l’Ouest, les Fils du Soleil, dont les cousins orien- »

Extrait de : M. J. Moorcock. « Corum – Le glaive et l’étalon. »

Le chêne et le bélier par M. J. Moorcock

Fiche de Le chêne et le bélier

Titre : Le chêne et le bélier (Tome 5 sur 6 – Corum)
Auteur : M. J. Moorcock
Date de parution : 1973
Traduction : P. Couton
Editeur : L’Atalante

Première page de Le chêne et le bélier

« UNE VISITE ROYALE

Donc, Rhalina était morte.
Et Corum avait fait la connaissance de Medhbh, la fille du Roi Mannach ; mais au bout d’une brève existence (selon les normes vadhaghs), elle aussi s’éteindrait. Si son point faible consistait à s’éprendre de femmes mabdens promises à une disparition prématurée, alors autant se résigner à l’idée de survivre à un grand nombre d’amantes, de connaître des deuils répétés, de souffrir à chaque fois le martyre. Pour l’heure, il ne s’attardait pas trop sur la question et préférait autant que possible ignorer les implications de telles pensées. Du reste, ses souvenirs de Rhalina s’estompaient et ce n’était qu’à grand-peine qu’il se rappelait les menus détails  »

Extrait de : M. J. Moorcock. « Corum – Le chêne et le bélier. »

La lance et le taureau par M. J. Moorcock

Fiche de La lance et le taureau

Titre : La lance et le taureau (Tome 4 sur 6 – Corum)
Auteur : M. J. Moorcock
Date de parution : 1973
Traduction : P. Couton
Editeur : Pocket

Première page de La lance et le taureau

« L’AVENIR S’ASSOMBRIT, QUAND LE PASSÉ S’ESTOMPE

RHALINA, encore belle, s’était éteinte à l’âge de quatre-vingt-seize ans, et Corum l’avait pleurée. Sept années plus tard, elle lui manquait toujours et, considérant le millénaire qu’il lui restait sans doute à vivre, il enviait aux Mabdens leur brève existence, mais se tenait à l’écart de cette race qui lui rappelait sa compagne disparue.
Dans leurs châteaux isolés – dont les formes imitaient si parfaitement la roche environnante que la plupart des Mabdens passaient auprès sans n’y rien voir que des affleurements de granit, pierre à chaux et basalte – vivaient les membres de sa propre race, les Vadhaghs ; il les évitait aussi, car il en était venu, du temps de Rhalina, à préférer la compagnie des Mabdens. Une ironie du sort dont il s’inspirait, dans  »

Extrait de : M. J. Moorcock. « Corum – La Lance et le Taureau. »