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Car la vie est dans le sang par F. M. Crawford
Fiche de Car la vie est dans le sang
Titre : Car la vie est dans le sang
Auteur : F. M. Crawford
Date de parution : 1911
Traduction : G. Coisne, J. Finné, E. Chardome
Editeur : Néo
Sommaire de Car la vie est dans le sang
- Car la vie est dans le sang
- Le cri
- La poupée fantôme
- Le sourire mort
- Un homme à la mer
- Les fontaines du paradis
- La couchette supérieure
- Le messager
Première page de Car la vie est dans le sang
« Nous avions dîné, aux derniers rayons du soleil couchant, sur l’imposante terrasse de la vieille tour : au milieu de la terrible chaleur de l’été, nous y trouvions encore quelque fraîcheur. En outre, la petite cuisine se situait dans un coin de la vaste plate-forme carrée, de sorte qu’il se révélait bien plus facile d’apporter directement les plats sur la table que de devoir les descendre par d’innombrables marches de pierre que l’âge avait brisées en certains endroits et érodées partout. La tour elle-même était une de ces constructions qui se dressaient un peu partout le long de la côte occidentale de la Calabre, selon les plans de Charles Quint qui désirait tenir en respect les pirates barbares, à l’époque où les Infidèles s’entendaient un peu trop bien avec François Ier pour combattre l’Empereur et l’Eglise. »
Extrait de : F. M. Crawford. « Car la vie est dans le sang. »
Francis Marion Crawford
Présentation de Francis Marion Crawford :
Enfance et Jeunesse (1854-1879)
Francis Marion Crawford est né le 2 août 1854 à Bagni di Lucca, en Italie, dans une famille aisée d’origine américaine. Son père, Thomas Crawford, était un sculpteur de renommée internationale, et sa mère, Louisa Cutler Ward, était la sœur de la poétesse Julia Ward Howe.
Crawford a grandi dans un environnement cultivé et a reçu une éducation soignée. Il a étudié à l’Université de Cambridge, à l’Université de Heidelberg et à l’Université de Rome. Il parlait couramment plusieurs langues et était passionné par l’histoire et la culture italienne.
Débuts littéraires et premiers succès (1879-1890)
En 1879, Crawford s’installe en Inde pour étudier le sanscrit. Il y travaille comme journaliste et publie son premier roman, « Mr. Isaacs », en 1882. Ce roman, qui raconte l’histoire d’un homme d’origine juive doté de pouvoirs hypnotiques, rencontre un succès immédiat et fait de Crawford un auteur célèbre.
De retour en Europe, Crawford s’installe à Rome et se consacre à l’écriture. Il publie de nombreux romans et nouvelles, dont « A Roman Singer » (1884), « Saracinesca » (1887) et « Sant’Ilario » (1889). Ses écrits, souvent inspirés de ses experiences de vie en Italie, explorent des thèmes tels que l’amour, la passion et la vengeance.
L’apogée de sa carrière (1890-1900)
Dans les années 1890, Crawford atteint l’apogée de sa carrière. Il publie plusieurs de ses romans les plus connus, dont « The Witch of Prague » (1891), « Khaled » (1891) et « Casa Braccio » (1895). Ses romans sont appréciés par le public pour leur intrigue captivante, leur style élégant et leurs descriptions pittoresques de l’Italie.
Crawford devient un auteur à succès et voyage beaucoup pour promouvoir ses livres. Il rencontre des personnalités importantes de l’époque, telles que Henry James et Mark Twain.
Dernières années et décès (1900-1909)
Au début du XXe siècle, la santé de Crawford commence à décliner. Il continue à écrire, mais ses romans ne rencontrent plus le même succès qu’auparavant. Il meurt le 9 avril 1909 à Sorrente, en Italie, à l’âge de 54 ans.
Hommage et postérité
Francis Marion Crawford est considéré comme l’un des auteurs les plus populaires de son époque. Ses romans ont été traduits dans plusieurs langues et ont été adaptés au cinéma et à la télévision.
Ouvrages de Francis Marion Crawford
Mr. Isaacs (1882)
A Roman Singer (1884)
Saracinesca (1887)
Sant’Ilario (1889)
The Witch of Prague (1891)
Khaled (1891)
Casa Braccio (1895)
Livres de Francis Marion Crawford :
Car la vie est dans le sang (1911)
Pour en savoir plus sur Francis Marion Crawford :
La page Wikipédia de F. M. Crawford
La page Noosfere de F. M. Crawford
La page isfdb de F. M. Crawford