Étiquette : de Chérisey
Le Trillium céleste par M. Zimmer Bradley et J. May
Fiche de Le Trillium céleste
Titre : Le Trillium céleste (Tome 5 sur 5 – Cycle de Trillium)
Auteur : J. May
Date de parution : 1997
Traduction : T. de Chérisey
Editeur : Le livre de poche
Première page de Le Trillium céleste
« Affalé sur la table au milieu des vestiges du repas, le vieux fou avait enfin sombré dans l’inconscience. Le prisonnier abaissa sa lame de verre étincelante pour effleurer de sa pointe la peau sombre et ridée de l’Archimage, juste au niveau du cou.
Un coup. Un simple geste, et c’en serait fini.
Vas-y !
Pourtant le prisonnier se retint. En proie aux émotions les plus contradictoires, il maudit ses sentiments qui l’incitaient à la lâcheté. Denby avait lâché la coupe de vin empoisonnée. Elle gisait renversée à côté de sa main brune et flasque. La lie répandue sur la table en gonda ternissait lentement le brillant de ce bois précieux. Cette sublime table, vieille de plus de douze mille ans, serait sans doute irrécupérable, mais son propriétaire à l’esprit dérangé survivrait. Debout, au-dessus de cette forme abandonnée et sans défense qu’était l’Archimage du Firmament, le »
Extrait de : J. May. « Cycle de Trillium – Le Trillium céleste. »
Le Trillium d’or par M. Zimmer Bradley et A. Norton
Fiche de Le Trillium d’or
Titre : Le Trillium d’or (Tome 3 sur 5 – Cycle de Trillium)
Auteur : A. Norton
Date de parution : 1993
Traduction : C. et T. de Chérisey
Editeur : Le livre de poche
Première page de Le Trillium d’or
« Elles étaient trois, les trois filles du Trillium Noir. Dans l’éclat de leur maturité, elles deviendraient Haramis, la Magicienne ; Kadiya, la Guerrière Errante ; et Anigel, la Reine.
Nées d’un seul et même enfantement (fait, en soi, étrange et sans précédent), elles virent le jour sous les auspices de l’Archimage Binah, Grande Gardienne des Terres, qui salua leur venue en ce monde et leur attribua leurs noms. La Grande Magicienne prophétisa qu’elles seraient, un jour, l’espoir et les sauveurs de leur peuple. Puis elle fit don à chacune d’elles d’une amulette d’ambre recelant un minuscule bouton du légendaire Trillium Noir, emblème de leur nation et de leur clan royal.
Bien qu’habité par des humains depuis des générations, le Ruwenda, qui les vit naître, restait un pays de mystères. Les marais le recouvraient presque entièrement, hormis quelques îlots de terre ferme, souvent couverts de ruines, vestiges d’an- »
Extrait de : A. Norton. « Cycle de Trillium – Le Trillium d’Or. »