Étiquette : Durastanti
La saga de Hrolf Kraki par P. Anderson
Fiche de La saga de Hrolf Kraki
Titre : La saga de Hrolf Kraki
Auteur : P. Anderson
Date de parution : 1973
Traduction : P.-P. Durastanti
Editeur : Bélial
Première page de La saga de Hrolf Kraki
« Au Danelagh d’Angleterre, sous le règne d’Æthelstan, vivait un dénommé Eyvind le Rouge. Svein Kolbeinsson, son père, avait quitté le Danemark mais y retournait souvent pour les besoins de son négoce. Quand il eut l’âge requis, Eyvind partit. Plus fougueux, plus désireux de se faire un nom que Svein, il finit par s’enrôler au service du roi. Il s’éleva dans la hiérarchie en quelques années et, à Brunanburh, guerroya de telle sorte et emmena si bien ses partisans qu’Æthelstan lui accorda son amitié et souhaita le voir demeurer dans la maison du roi. Eyvind n’était pas sûr de vouloir passer ainsi le restant de ses jours, aussi demanda-t-il au souverain la permission de retourner quelque temps sur sa vieille ferme.
Il y retrouva Svein, qui préparait un nouveau voyage, et décida d’embarquer avec lui. Au Danemark, ils bénéficièrent de l’hospitalité du chef Sigurdh Haraldsson. Cet homme avait une fille vierge, la blonde Gunnvor, qu’Eyvind ne tarda pas à »
Extrait de : P. Anderson. « La saga de Hrolf Kraki. »
La patrouille du temps par P. Anderson
Fiche de La patrouille du temps
Titre : La patrouille du temps (Tome 1 sur 4 – La patrouille du temps)
Auteur : P. Anderson
Date de parution : 2005
Traduction : P.-P. Durastanti
Editeur : Bélial
Sommaire de La patrouille du temps
- La patrouille du temps
- Le grand roi
- Echec aux mongols
- L’autre univers
- Les chutes de Gibraltar
Première page de La patrouille du temps
« ON DEMANDE HOMMES, 21-40, préf. célib. spéc. mil. ou tech., bonne santé, pour travail bien rémun., voyages loint. Soc. d’Entrep. Méc. 305 E, 45, 9-12 & 2-6.
— Vous comprenez qu’il s’agit d’un travail assez inhabituel, dit Mr. Gordon. Et confidentiel. Je pense que vous savez observer le secret ?
— Oui, en temps normal, fit Manse Everard. Cela dépend évidemment de la nature du secret.
Mr. Gordon sourit. Un sourire bizarre, une courbe serrée des lèvres qui ne ressemblait à rien que connût déjà Everard. Il parlait un américain courant et portait un complet d’affaires tout ordinaire, mais il se dégageait de lui une impression d’étrangeté qui ne venait pas uniquement de son teint bistre, de ses joues imberbes ou de l’incongruité de ses yeux mongols, effilés de part et d’autre de son nez mince et caucasien. C’était difficile à définir.
— Nous ne sommes pas des espions, si c’est à cela que vous pensez, dit-il. »
Extrait de : P. Anderson. « La patrouille du temps – La patrouille du temps. »