Étiquette : La dernière guerre
Seconde vie par F. Colin
Fiche de Seconde vie
Titre : Seconde vie (Tome 2 sur 2 – La dernière guerre)
Auteur : F. Colin
Date de parution : 2013
Editeur : Michel Laffont
Première page de Seconde vie
« Après sa mort à Paris dans un attentat, Floryan se réveille ailleurs, au cœur d’une nature sauvage et en apparence inviolée. Un Élohim, immense créature de lumière, se présente à lui et lui soumet un ultimatum : soit il le suit dans le Royaume, un prétendu paradis niché derrière une chaîne de montagnes titanesque, soit il plonge seul dans le Nihil, un gouffre dont la signification même demeure un mystère.
Floryan, qui a quarante-neuf jours pour se décider, fait alors la connaissance des Égarés, des humains disparus comme lui dans des conditions tourmentées et qui, retranchés dans leur village fortifié, ont choisi de ne pas choisir et de mener une existence libre.
Profitant des vapeurs d’Ichor qui flottent au-dessus du Nihil, les Égarés peuvent à loisir retourner dans le passé de la Terre en tant que simples observateurs. Mais Floryan désobéit aux règles : il se rend dans le futur et parvient à se matérialiser sur Terre. À l’horizon 2030, il découvre une France en pleine débâcle, touchée par un virus qui affecte la mémoire et menacée par une invasion russe. Au-delà de cette triste situation, c’est la survie même du monde entier qui semble en jeu depuis que les femmes ne peuvent plus avoir d’enfants. »
Extrait de : F. Colin. « La Dernière Guerre – Seconde vie. »
49 jours par F. Colin
Fiche de 49 jours
Titre : 49 jours (Tome 1 sur 2 – La dernière guerre)
Auteur : F. Colin
Date de parution : 2012
Editeur : Michel Laffont
Première page de 49 jours
« Dans les moments qui précèdent les grandes catastrophes, certains détails ne vous paraissent essentiels qu’après coup. Ce ciel trop bleu, contemplé depuis la fenêtre de votre bureau new-yorkais du quatre-vingt-seizième étage, un certain 11 septembre 2001. Ce silence trop parfait sur la plage de Phuket tandis que vos traces dans le sable s’effacent, au matin du 26 décembre 2004. Ces chiens d’habitude si calmes qui, soudain, aboient sans raison en descendant les ruelles de Port-au-Prince, à l’aube du 12 janvier 2010.
Des avertissements. Des signes.
Peut-être y a-t-il eu tel un présage, ce mardi-là, dans cette rame de métro de la ligne 6 traversant la Seine à la hauteur de la tour Eiffel. Mais si c’est le cas, il faut croire que je n’ai pas été assez attentif. »
Extrait de : F. Colin. « La dernière guerre – 49 Jours. »