Étiquette : Le dernier paradis
Les survivants du paradis par M. Jeury
Fiche de Les survivants du paradis
Titre : Les survivants du paradis (Tome 2 sur 2 – Le dernier paradis)
Auteur : M. Jeury
Date de parution : 1985
Editeur : Fleuve noir
Première page de Les survivants du paradis
« — Honneur à vous, Directeur Hanselao !
— Bonjour, Habas. Nous n’avons pas de temps à perdre. Votre rapport !
— Il s’agit de la zone Auvergne-Orenbourg, Directeur. Là où se trouvait Paradis 5-Edenla, à proximité d’un endroit appelé autrefois Larzac. Nous y avons créé une base. Voici la carte.
— Je vois. Edenla était donc le dernier Paradis de la Terre. Drôle de Paradis, n’est-ce pas ?
— Question de point de vue, Directeur. En tout cas, c’est le nom qu’on donnait à ces territoires sous dôme où les derniers civilisés ont mené pendant des siècles une existence oisive et confortable.
— Avec un climat d’éternel été, des nourritures abondantes et exquises, des robots qui pourvoyaient à tous les besoins et des jeux compliqués pour lutter contre un mortel ennui… En attendant notre retour ! »
Extrait de : M. Jeury. « Le dernier paradis – Les survivants du paradis. »
Le dernier paradis par M. Jeury
Fiche de Le dernier paradis
Titre : Le dernier paradis (Tome 1 sur 2 – Le dernier paradis)
Auteur : M. Jeury
Date de parution : 1985
Editeur : Fleuve noir
Première page de Le dernier paradis
« Les hommes à la fois sages et aventureux qui ont quitté la Terre aux environs du XXXe siècle, poussés par la mystérieuse fièvre des étoiles, ont avant leur départ préparé longuement la renaissance de la planète et de l’humanité. Car la Terre, surexploitée depuis le début de la société industrielle, ravagée par de nombreuses guerres, exsangue, encrassée et sclérosée, avait besoin d’une longue période de repos, d’une cure de jouvence de deux ou trois millénaires.
Les hommes du XXXe siècle l’ont libérée, n’y laissant qu’un certain nombre de tribus primitives et les Paradis où ils avaient enfermé ceux des leurs qui ne voulaient pas partir vers les étoiles. Là, ceux qui restaient ou leurs descendants devenus quasi immortels, menaient une existence oisive, confortable dans leurs microclimats tièdes. Les robots et les ordinateurs pourvoyaient à tous leurs besoins et s’efforçaient de satisfaire tous leurs désirs… quand ils en avaient encore. »
Extrait de : M. Jeury. « Le dernier paradis – Le dernier paradis. »