Étiquette : Les pouvoirs perdus
La faille entre les mondes par M. Zimmer Bradley
Fiche de La faille entre les mondes
Titre : La faille entre les mondes (Tome 2 sur 2 – Les pouvoirs perdus)
Auteur : M. Zimmer Bradley et H. Lisle
Date de parution : 1998
Traduction : I. Troin
Editeur : Pocket
Première page de La faille entre les mondes
« Les derniers sauveteurs avaient abandonné les recherches depuis des mois. Quand l’Américaine sortit sur sa bicyclette d’une petite passe de montagne peu fréquentée, au cœur des Alpes italiennes, son mari avait déjà reçu un avis l’informant qu’elle était présumée morte. La ville où elle habitait avait fait son deuil, ses amis lui ayant présenté leurs respects. Pour elle, son absence n’avait duré que trente jours. Dans le monde qu’elle avait laissé et qu’elle rejoignait enfin, six mois étaient passés.
L’Américaine et son guide entrèrent dans la ville de Bardonecchia, où leur arrivée fit sensation. Le guide traînait un cadavre attaché à un brancard fixé au cadre de sa bicyclette. Dans sa poche, la femme cachait un livre.
Le cadavre et le livre n’étaient pas ce qu’ils semblaient être…
La morte ressemblait à la meilleure amie de l’Américaine, également portée disparue. En réalité, c’était une copie magique créée pour lui fournir un alibi, alors que la jeune femme, bien vivante, restait en Glenravenne, où elle officiait comme Maîtresse de la Garde de ce royaume affligé. »
Extrait de : M. Zimmer Bradley et H. Lisle. « Les pouvoirs perdus – La faille entre les mondes. »
Glenravenne par M. Zimmer Bradley
Fiche de Glenravenne
Titre : Glenravenne (Tome 1 sur 2 – Les pouvoirs perdus)
Auteur : M. Zimmer Bradley et H. Lisle
Date de parution : 1995
Traduction : E. Vonarburg
Editeur : Pocket
Première page de Glenravenne
« Jay Bennington ne voulait plus penser au désastre. Elle tira le rebord de son bonnet de pluie plus bas sur sa nuque, mais cela ne servait à rien : l’eau continuait à dégoutter sous son imperméable et le long de son dos. Elle était froide : l’orage d’été qui sévissait sur toute la Côte Est avait peut-être une origine tropicale, mais la pluie qu’il faisait dégringoler sur Jay n’était pas particulièrement chaude.
Il faut que je m’en aille. Quelque part où personne ne me connaît, où personne ne peut me retrouver. Là où je peux marcher la tête haute, et j’ai intérêt à y aller vite fait, avant que la nouvelle se répande. Un million de kilomètres, ce ne serait pas trop loin. Vraiment dommage qu’aucun endroit de cette planète ne se trouve à un million de kilomètres de ce trou à rats.
Jay arpentait d’un pas maniaque la rue McDuffie, les chaussures pleines d’eau. Elle marchait depuis des heures, depuis que la discussion avec »
Extrait de : M. Zimmer Bradley et H. Lisle. « Les pouvoirs perdus – Glenravenne. »