Étiquette : L'invasion des profanateurs
L’invasion des profanateurs par J. Finney
Fiche de L’invasion des profanateurs
Titre : L’invasion des profanateurs
Auteur : J. Finney
Date de parution : 1954
Traduction : M. Lebrun
Editeur : Denoël
Première page de L’invasion des profanateurs
« Je préfère vous avertir tout de suite : le récit que vous commencez à lire regorge d’incohérences et de questions sans réponses. Il s’achèvera sans beaucoup de précision ; tout n’y sera pas résolu, ni expliqué avec logique. Du moins pas par moi. Je ne peux même pas affirmer que je sache exactement ce qui s’est passé, ni pourquoi, ni comment ça a commencé, comment ça a pris fin, ou seulement si ça s’est terminé ; pourtant j’ai été aux premières loges. Maintenant, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, désolé, mais vous feriez mieux de lire autre chose. Je ne peux raconter que ce que je sais.
Pour moi, tout commença vers les six heures du soir, le jeudi 28 octobre 1976, une fois que j’eus reconduit mon dernier patient – un pouce foulé – à la porte de mon cabinet, avec l’impression vague que ma journée n’était pas encore finie ; j’aurais souhaité ne pas être médecin, car chez moi ce genre »
Extrait de : J. Finney. « L’invasion des profanateurs. »
Body snatchers par J. Finney
Fiche de Body snatchers
Titre : Body snatchers ou L’invasion des profanateurs
Auteur : J. Finney
Date de parution : 1983
Traduction : O. Girard, E. Perchoc
Editeur : Bélial
Première page de Body snatchers
« JE PRÉFÈRE VOUS AVERTIR TOUT DE SUITE : le récit que vous commencez à lire regorge d’incohérences et de questions sans réponses. Il s’achèvera sans beaucoup de précision ; tout n’y sera pas résolu, ni expliqué avec logique. Du moins pas par moi. Je ne peux même pas affirmer que je sache exactement ce qui s’est passé, ni pourquoi, ni comment ça a commencé, comment ça a pris fin, ou seulement si ça s’est terminé ; pourtant j’ai été aux premières loges. Maintenant, si vous n’aimez pas ce genre d’histoire, désolé, mais vous feriez mieux de lire autre chose. Je ne peux raconter que ce que je sais.
Pour moi, tout commença vers les six heures du soir, le jeudi 28 octobre 1976, une fois que j’eus reconduit mon dernier patient – un pouce foulé – à la porte de mon cabinet, avec l’impression vague que ma journée n’était pas encore finie ; j’aurais souhaité ne pas être médecin, car chez moi ce genre »
Extrait de : J. Finney. « Body Snatchers. »