Étiquette : Novaria
Le roi entêté par L. Sprague de Camp
Fiche de Le roi entêté
Titre : Le roi entêté (Tome 3 sur 4 – Novaria)
Auteur : L. Sprague de Camp
Date de parution : 1983
Traduction : M. Lederer
Editeur : Denoël
Première page de Le roi entêté
« Le palais de Xylar
Une grande baignoire de cuivre dont la surface brillante
réfléchissait les rayons du soleil couchant survolait les neiges des Lograms.
Elle se faufilait entre les hauts pics, rasant les glaciers de quelques
coudées.
« Gorax ! s’écria l’un des deux passagers de la baignoire.
Je t’avais pourtant enjoint de ne point passer aussi près de ces montagnes !
Veux-tu donc faire défaillir mon vieux cœur de terreur ? Dorénavant, de
grâce, contourne-les !
— Qu’est-ce qu’il dit ? demanda son compagnon. »
Le premier inclina la tête comme pour écouter, puis répondit : »
Extrait de : L. Sprague de Camp. « Novaria – Le roi entêté. »
A l’heure d’Iraz par L. Sprague de Camp
Fiche d’A l’heure d’Iraz
Titre : A l’heure d’Iraz (Tome 2 sur 4 – Novaria)
Auteur : L. Sprague de Camp
Date de parution : 1971
Traduction : M. Piot-Bertomeu
Editeur : Denoël
Première page d’A l’heure d’Iraz
« Le mammouth écarlate
C’était l’heure de la Chèvre, le treize du mois de la
Licorne, dans la république d’Ir, un des douze États du Novaria.
À la taverne du Mammouth Écarlate, dans la ville
d’Orynx, un jeune homme élancé, élégamment vêtu, jouait machinalement avec son
verre de vin tout en surveillant la porte d’entrée. Il portait un costume
novarien, légèrement excentrique. Sa peau était plus foncée que celle de la
plupart des Novariens, pourtant en général basanés. En outre, ses vêtements
étaient plus voyants que ceux que l’on portait au pays des Douze Cités. »
Extrait de : L. Sprague de Camp. « Novaria – A l’heure d’Iraz. »
Le coffre d’Avlen par L. Sprague de Camp
Fiche de Le coffre d’Avlen
Titre : Le coffre d’Avlen (Tome 1 sur 4 – Novaria)
Auteur : L. Sprague de Camp
Date de parution : 1968
Traduction : S. Hilling
Editeur : Denoël
Première page de Le coffre d’Avlen
« UN MORCEAU DE CORDE
— C’est une curieuse coutume, dit le Barbare, que de
couper la tête à votre roi tous les cinq ans. Ça m’étonne que votre trône
trouve preneur.
Sur l’échafaud, le bourreau passait une pierre à aiguiser
sur le tranchant brillant de sa hache. Il fourra la pierre dans sa poche,
cligna des yeux pour examiner le fil qu’il éprouva du pouce. Son sourire de
satisfaction échappa à la foule au dessous de lui, car il avait la tête
couverte d’une cagoule noire avec deux simples trous pour les yeux. La hache
n’était ni un outil de bûcheron, ni une arme de guerrier. Sa tête d’acier bleu
était anormalement large, comme un couperet de boucher. »
Extrait de : L. Sprague de Camp. « Novaria – Le coffre d’Avlen. »