Étiquette : Passages Paris Venise
Le papyrus de Venise par F. Darnaudet
Fiche de Le papyrus de Venise
Titre : Le papyrus de Venise (Tome 2 sur 4 – Passages Paris Venise)
Auteur : F. Darnaudet
Date de parution : 2006
Editeur : Nestiveqnen
Première page de Le papyrus de Venise
« Les hommes travaillaient à la pelle ou à la pioche, mais une quinzaine de Winchester reposaient sur les rochers, couvertes de poussières rouges, immobiles et dangereuses comme des serpents à sonnette se dorant au soleil. Ces individus sales et mal rasés avaient été choisis pour leurs qualités d’archéologues et de baroudeurs. Parmi eux, s’activait un ancien lieutenant du Septième de cavalerie, un rouquin d’Irlandais du nom de Walter O’Keefe, un géant de plus de deux mètres dix. Dans les années soixante, O’Keefe avait étudié la géologie à Dublin puis, après un long séjour parisien, il avait quitté le Vieux Monde pour l’Amérique du Nord. Suite à un comportement glorieux durant la campagne du général Crook contre Crazy Horse, l’Irlandais, promu officier, s’était retrouvé à chevaucher aux côtés de Custer, un beau matin de juin 1876, près de Little Big Horn. Heureusement pour lui, quand ce vieux fou de Custer avait scindé sa troupe en deux, O’Keefe avait fait partie du groupe d’attaque du major »
Extrait de : F. Darnaudet. « Le papyrus de Venise – Passages Paris Venise. »
Les dieux de Cluny par F. Darnaudet
Fiche de Les dieux de Cluny
Titre : Les dieux de Cluny (Tome 1 sur 4 – Passages Paris Venise)
Auteur : F. Darnaudet
Date de parution : 2003
Editeur : Nestiveqnen
Sommaire de Les dieux de Cluny
- Le fantôme d’Orsay
- Les dieux de Cluny
Première page de Le fantôme d’Orsay
« — Gotham City is in trouble… call for Batman !
La voix nasillarde du réveil répéta son avertissement :
— Gotham City is in…
Roger Hanicotte appuya rageusement sur le poussoir en plastique noir. Il pesta, mécontent d’avoir perdu son ancien réveil à quartz japonais. Pour ne pas rater ses rondes, il s’était rabattu sur le cadeau offert pour l’anniversaire du gosse. Un réveil Batman encombrant dont la « sonnerie » consistait en un baragouin amerloque qu’il ne comprenait pas. Ce truc était tellement énervant qu’il se levait aussitôt pour l’interrompre.
Il sortit du lieu de vie des gardiens puis se dirigea vers le réseau de surveillance. Terrus et Delaris inspectaient mollement les écrans.
La multitude de petits postes télévisés diffusaient des paysages de tableaux et de »
Extrait de : F. Darnaudet. « Les Dieux de Cluny – Passages Paris Venise. »