Étiquette : Paxson
La prêtresse d’Avalon par M. Zimmer Bradley
Fiche de La prêtresse d’Avalon
Titre : La prêtresse d’Avalon (Tome 7 sur 8 – Cycle d’Avalon)
Auteur : M. Zimmer Bradley et D. L. Paxson
Date de parution : 2000
Traduction : M. Lebailly, E. Ochs
Editeur : Le livre de poche
Première page de La prêtresse d’Avalon
« 249 après J.-C.
Au coucher du soleil, un air frais et vivifiant s’était mis à souffler de la mer. En cette saison, les fermiers brûlaient le chaume de leurs champs, mais le vent avait balayé le voile de brume et la Voie lactée traçait d’un bout à l’autre du ciel une route d’un blanc éclatant. Le Merlin d’Angleterre [2] était assis sur la Pierre du Veilleur, au sommet du Tor, les yeux fixés sur les étoiles. Bien que la gloire des deux dominât sa vision, elle ne retenait pas toute son attention. Il tendait l’oreille pour capter tous les bruits provenant de la demeure de la Grande Prêtresse, située sur la pente en dessous de lui.
Depuis l’aube, Rian connaissait les douleurs de l’enfantement. Ce serait son cinquième enfant et les premiers bébés étaient venus au monde facilement. L’accouchement n’aurait pas dû s’éterniser ainsi. Les sages-femmes celaient jalousement leurs mystères, mais au coucher du soleil, quand Merlin s’était préparé à sa veille, il avait lu de l’inquiétude dans leurs yeux. Le roi Coelius de Camulodunum, »
Extrait de: M. Zimmer Bradley et D. L. Paxson. « Cycle d’Avalon – La prêtresse d’Avalon. »
Les ancêtres d’Avalon par M. Zimmer Bradley
Fiche de Les ancêtres d’Avalon
Titre : Les ancêtres d’Avalon (Tome 2 sur 8 – Cycle d’Avalon)
Auteur : M. Zimmer Bradley et D. L. Paxson
Date de parution : 2004
Traduction : P. Renaud-Grosbras
Editeur : Le livre de poche
Première page de Les ancêtres d’Avalon
« Tiriki s’éveilla en sursaut lorsque le lit vacilla. Elle tendit la main vers Micail, clignant des yeux pour chasser les images chaotiques et cruelles du feu, du sang, de murs en ruine et d’une silhouette acrimonieuse et sans visage qui se tordait dans ses chaînes. Mais elle était en sécurité dans son propre lit, son mari à ses côtés.
— Les dieux soient remerciés, murmura-t-elle. Ce n’était qu’un rêve !
— Pas vraiment, regarde.
Se dressant sur un coude, Micail montra du doigt la lampe qui pendait, ou plutôt se balançait, devant l’autel de la Mère, dans un coin, envoyant des ombres folles tout autour de la pièce.
— Mais je sais de quoi tu as rêvé. La vision m’est venue aussi.
Au même moment, la terre trembla à nouveau. Micail saisit Tiriki entre ses bras et la fit rouler vers le mur pour la protéger, alors que du plâtre dégringolait du plafond. Dans le lointain résonna un sourd grondement de maçonnerie en train de s’écrouler. »
Extrait de : M. Zimmer Bradley. « Cycle d’Avalon – Les ancêtres d’Avalon. »