Étiquette : Sabathé-Ricklin
Nightflyers par G. R. R. Martin
Fiche de Nightflyers
Titre : Nightflyers et autres récits
Auteur : G. R. R. Martin
Date de parution : 2018
Traduction : O. Sabathé-Ricklin, M. Cartanas, M.-C. Luong, E. Holstein, E. Devos, H. Hémon,
Editeur : ActuSF
Sommaire de Nightflyers
- Le volcryn
- Pour une poignée de volutoines
- Week-end en zone de guerre
- Sept fois, sept fois l’homme, jamais !
- Ni les feux multicolores d’un anneau stellaire
- Une chanson pour Lya
Première page de Le volcryn
« Dans les temps reculés où l’on mettait en croix Jésus de Nazareth, le volcryn se trouvait dans la Voie lactée, à moins d’une année-lumière de la Terre. Mais quand, sur Terre, se déclenchèrent les nouvelles Guerres du Feu, le volcryn faisait déjà route vers Poséidon et ses mers mortes.
À l’époque où la découverte de l’hyperpropulsion transformait la Fédération des Nations de la Terre en Empire Fédéral, le volcryn errait quelque part aux confins de l’espace hrangan. Les Hrangans n’en ont jamais rien su. Comme nous, c’étaient des enfants de ces planètes chaudes qui tournent inlassablement autour de leurs petits soleils et ils ne connaissaient rien des abîmes de »
Extrait de : G. R. R. Martin. « The Nightflyers et autres récits. »
Le volcryn par G. R. R. Martin
Fiche de Le volcryn
Titre : Le volcryn
Auteur : G. R. R. Martin
Date de parution : 1981
Traduction : O. Sabathé-Ricklin
Editeur : ActuSF
Première page de Le volcryn
« Dans les temps reculés où l’on mettait en croix Jésus de Nazareth, le volcryn se trouvait dans la Voie Lactée, à moins d’une année-lumière de la Terre. Mais quand, sur Terre, se déclenchèrent les nouvelles Guerres du Feu, le volcryn faisait déjà route vers Poséidon et ses mers mortes.
À l’époque où la découverte de l’hyperpropulsion transformait la Fédération des Nations de la Terre en Empire Fédéral, le volcryn errait quelque part aux confins de l’espace hrangan. Les Hrangans n’en ont jamais rien su. Comme nous, c’étaient des enfants de ces planètes chaudes qui tournent inlassablement autour de leurs petits soleils et ils ne connaissaient rien des abîmes de l’univers.
Pendant mille ans, la guerre enflamma l’empire. Quelque part, là où nul feu ne peut brûler, le volcryn était. Inaccessible. Indifférent. Autre.
L’Empire Fédéral éclata, se démantela. Les Hrangans s’évanouirent dans la nuit du »
Extrait de : G. R. R. Martin. « Le Volcryn. »
Alternatives par F. Leiber
Fiche d’Alternatives
Titre : Alternatives
Auteur : F. Leiber
Date de parution : 1945
Traduction : O. Sabathé-Ricklin
Editeur : Presses de la cité
Première page d’Alternatives
« LA QUATRIÈME synchromie de Hoderson déployait son dernier mouvement en une frémissante aurore boréale de verts et de bleus, achevant de narrer l’antique légende de l’« Yggdrasil » – cet arbre qui plonge ses racines à la fois dans le ciel, dans l’enfer et dans la terre des géants pétrifiés ; des serpents rongent les racines de l’arbre tandis que les dieux luttent pour le préserver.
Transcrit en ondes lumineuses par le génie de Hoderson et interprété par le plus grand colori-orchestre du monde, le mythe de la terreur fondamentale, du mystère et de la pourriture, tenait encore une fois le public sous son emprise. »
Extrait de : F. Leiber. « Alternatives. »
Le maître du réseau par O. E. Butler
Fiche de Le maître du réseau
Titre : Le maître du réseau (Tome 1 sur 5 – Patternist)
Auteur : O. E. Butler
Date de parution : 1976
Traduction : O. Sabathé-Ricklin
Editeur : Presses de la cité
Première page de Le maître du réseau
« Etendu sur l’immense lit, Rayal se laissait bercer par le paisible flot du Réseau. Il se sentait parfaitement détendu. Presque serein. Depuis près d’un an les Clayarks n’avaient lancé aucune attaque sérieuse contre l’un ou l’autre des territoires du réseau et le Grand Maître avait vécu suffisamment d’années belliqueuses pour apprécier pleinement ce luxe. Jansee, la Première Dame, qui partageait ce soir la couche de Rayal, vint brutalement troubler ce moment parfait.
– Demain, déclara-t-elle, j’aimerais bien envoyer un muet pour voir ce que deviennent nos fils.
« Ses enfants, toujours ses enfants ! ». Rayal laissa échapper un bâillement d’ennui. A son goût, la Première Dame finissait par ressembler un peu trop elle-même à un muet, avec ses sempiternelles inquiétudes au sujet de sa progéniture. Fort heureusement, l’école des deux garçons, âgés respectivement de deux et douze ans, se trouvait à quelque »
Extrait de : O. E. Butler. « Patternist – Le Maître du Réseau. »