Étiquette : Steve Harrison
Steve Harrison et le talon d’argent par R. E. Howard
Fiche de Steve Harrison et le talon d’argent
Titre : Steve Harrison et le talon d’argent (Tome 2 sur 2 – Steve Harrison)
Auteur : R. E. Howard
Date de parution : 1985
Traduction : F. Truchaud
Editeur : NEO
Sommaire de Steve Harrison et le talon d’argent
- La lune noire
- La maison du soupçon
- Le talon d’argent
- La voix de la mort
- Steve Harrison …
- Les rats du cimetière
Première page de La lune noire
« — Et telle est la légende de l’Esprit du Renard Blanc, mon honorable ami, chantonna le vieux Wang Yun en croisant ses mains osseuses sur sa tunique de soie brodée, ainsi que la racontent les Fils de Han. À présent, je dois donner à manger à l’Ancien.
Steve Harrison, massif et sombre, incongru auprès des porcelaines à la fragilité délicate et des jades d’Orient entassés pêle-mêle dans la petite boutique, appuya sa mâchoire agressive sur son poing semblable à un marteau. Il observa son hôte avec une fascination particulière, tandis que le vieux Chinois se dirigeait d’un pas traînant vers une cage en bambou. Celle-ci était posée sur le giron d’un énorme Bouddha vert, blotti contre le mur, au milieu de vases Ming et de tapis du Turkestan oriental. Wang Yun cligna ses yeux chassieux et fredonna un chant étrange, tout en sortant une bouteille de »
Extrait de : R. E. Howard. « Steve Harrison – Steve Harrison et le talon d’argent. »
Steve Harrison et le maître des morts par R. E. Howard
Fiche de Steve Harrison et le maître des morts
Titre : Steve Harrison et le maître des morts (Tome 1 sur 2 – Steve Harrison)
Auteur : R. E. Howard
Date de parution : 1985
Traduction : F. Truchaud
Editeur : NEO
Sommaire de Steve Harrison et le maître des morts
- Le peuple du serpent
- Le maître des morts
- Les noms du livre noir
- Les dents de la mort
- Le mystère de Tannernoe Lodge
Première page de Le peuple du serpent
« — C’est le seul chemin conduisant au marais, m’sieu.
Le guide de Steve Harrison pointa un long doigt vers le sentier étroit qui s’enfonçait et sinuait parmi les chênes verts et les cyprès. Harrison haussa ses épaules massives. Les lieux n’étaient guère encourageants ; déjà les ombres de la fin de l’après-midi s’étiraient et allongeaient des doigts obscurs vers les recoins indistincts parmi les arbres festonnés de mousse.
— Vous devriez attendre jusqu’à demain matin, déclara le guide, un homme grand et efflanqué, portant des bottes en peau de vache et une salopette trop large pour lui. Il se fait tard, et il est préférable de ne pas se faire surprendre par la nuit au sein de ce marécage. »
Extrait de : R. E. Howard. « Steve Harrison – Steve Harrison et le maître des morts. »