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Comment écrire de la fiction ? par L. Davoust

Fiche de Comment écrire de la fiction ?

Titre : Comment écrire de la fiction ?
Auteur : Lionel Davoust
Date de parution : 2021
Editeur : Argyll

Première page de Comment écrire de la fiction ?

« Oui, parce que « avertissement » ferait un peu pédant. Ou dangereux. Mais cela l’est peut-être. Ici, il y a des dragons ; ici, il y a des histoires. Les vôtres.

Pourquoi ce livre, qu’en attendre, et par quel bout le prendre ? (Déjà, si vous parvenez à lire ceci, c’est bien parti : vous le tenez dans le bon sens.)

« Écrire de la fiction », c’est raconter des histoires sous forme littéraire. De l’envie jusqu’au point final et peut-être la publication, que ce soit dans l’édition traditionnelle ou l’autoédition. Il s’agira donc ici de la réalisation de fictions romanesques, quel que soit le genre ou la forme, avec efficacité : le terme ne désigne pas ici un objectif de « production » quelconque, mais recouvre la double dimension d’arriver à concrétiser le projet dont on rêve, tout en servant ses qualités afin qu’il touche le plus large public susceptible d’être concerné. »

Extrait de : Lionel Davoust. « Comment écrire de la fiction ?. »

Le temps des retrouvailles par R. Sheckley

Fiche de Le temps des retrouvailles

Titre : Le temps des retrouvailles
Auteur : R. Sheckley
Date de parution : 2022
Traduction : M. Battin, M. Deutsch, J.-P. Pugi, A. Rosenblum
Edition : Argyll

Sommaire de Le temps des retrouvailles

  • Le prix du danger
  • Les morts de Ben Baxter
  • Une race de guerrier
  • N’y touchez pas !
  • La mission du Quedak
  • Tu brûles !
  • Un billet pour Tranaï
  • Le temps des retrouvailles
  • Tels que nous sommes
  • La suprême récompense
  • Les spécialisés
  • La septième victime
  • Permis de maraude

Première page de Le temps des retrouvailles

« Les ennuis d’Alistair Crompton commencèrent dès qu’il arriva à Port Newton. Dans une ruelle déserte, deux hommes en haillons le poussèrent contre un mur. L’un d’eux tenait un petit canif. L’autre avait enroulé une bande de métal autour de son poing. Ils avaient l’air de vagabonds et ne semblaient pas être à jeun.
Le plus grand des deux posa sa main épaisse sur la poitrine de Crompton.
« C’en est un, pas vrai Charlie ?
— Ouais, c’est un scindé, répondit l’autre. On va s’occuper de lui. »
Crompton supposa qu’ils l’avaient reconnu à la forme caractéristique de la mallette qui contenait son projecteur Mikkleton. Peut-être aurait-il mieux fait de le placer dans une valise ordinaire, mais il ne s’était pas attendu à voir surgir des complications.
Il n’était pas encore remis de son long voyage entre la Terre et Mars. Il ressentait toujours les  »

Extrait de : R. Sheckley. « Le Temps des retrouvailles. »