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Prélude à Trantor par I. Asimov

Fiche de Prélude à Trantor

Titre : Prélude à Trantor (Tome 1 sur 2 – Le grand livre des robots)
Auteur : I. Asimov
Date de parution : 1990
Traduction : J. Brécard, A.-Y. Richard
Editeur : Omnibus

Sommaire de Prélude à Trantor :

  • Nous les robots
  • Les cavernes d’acier
  • Face aux feux du soleil

Première page de Nous les robots

« ROBOTS NON HUMAINS

Plutôt que de classer ces histoires de robots par ordre chronologique, j’ai préféré les regrouper par thèmes. Dans cette première partie, par exemple, je parle de robots à forme non humaine – ressemblant à un chien, à une automobile ou à une simple caisse. Et pourquoi pas ? Les robots industriels sont apparus dans la réalité sous des formes qui n’ont rien d’humain.
« Le Meilleur ami du petit d’homme » est donc la première histoire de ce recueil, bien qu’elle n’appartienne pas à mes premières œuvres. Écrite le 10 septembre 1974, elle vous rappellera peut-être « Robbie », son aînée de quelque trente-cinq ans, qui apparaît un peu plus loin dans ce livre. N’allez pas croire que je ne m’en suis pas aperçu.
À ce propos, vous remarquerez que dans ces trois premières histoires le caractère « Robot-Émouvant » est assez net. Dans « Sally », pourtant, il ne semble pas y avoir trace des Trois Lois et vous trouverez une ambiance plutôt « Robot-Menaçant ». Mais si j’ai envie de sacrifier à cette catégorie de temps à autre, rien ne m’en empêche, n’est-ce pas ? »

Extrait de : I. Asimov. « Le grand livre des robots – Prélude à Trantor. »

Les cavernes d’acier par I. Asimov

Fiche de Les cavernes d’acier

Titre : Les cavernes d’acier (Tome 3 sur 6 – Les robots)
Auteur : I. Asimov
Date de parution : 1953
Traduction : J. Brécard
Editeur : J’ai lu

Première page de Les cavernes d’acier

« Entretien avec un commissaire

Lije Baley venait d’atteindre son bureau quand il se rendit compte que R. Sammy l’observait, et que, manifestement, il l’avait attendu.
Les traits austères de son visage allongé se durcirent.
— Qu’est-ce que tu veux ? fit-il.
— Le patron vous demande, Lije. Tout de suite. Dès votre arrivée.
— Entendu !
R. Sammy demeura planté à sa place.
— J’ai dit : entendu ! répéta Baley. Fous le camp !
R. Sammy pivota sur les talons, et s’en fut vaquer à ses occupations ; et Baley, fort irrité, se demanda, une fois de plus, pourquoi ces occupations-là ne pouvaient pas être confiées à un homme. »

Extrait de : I. Asimov. « Les robots – Les cavernes d acier. »