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Flandry, défenseur de l’Empire Terrien par P. Anderson

Fiche de Flandry, défenseur de l’Empire Terrien

Titre : Flandry, défenseur de l’Empire Terrien (Tome 2 sur 3 – Dominic Flandry)
Auteur : P. Anderson
Date de parution : 1969
Traduction : S. Chupin
Editeur : L’Atalante

Sommaire de Flandry, défenseur de l’Empire Terrien

  • Un cirque de tous les diables
  • Les mondes rebelles

Première page d’Un cirque de tous les diables

« C’est l’histoire d’un trésor perdu gardé par d’étranges monstres, d’une captivité dans une immensité désertique et d’une poursuite à travers récifs et écueils au risque d’y faire naufrage. On y voit une jolie fille, un magicien, un ou deux espions, ainsi que des empires rivaux qui s’affrontent. Et bien sûr, comme Flandry fut tenté de le dire plus tard, c’est un concours de circonstances qui fut à l’origine de tout cela.
Pourtant, la probabilité qu’il rencontre Tachwyr l’Obscur n’était pas si faible. Ils exerçaient le même métier, lequel les conduisait fréquemment dans les mêmes endroits, et ils avaient aussi en commun l’esprit aventureux de la jeunesse. À l’évidence, dès lors que l’on pratique l’impérialisme à une échelle interstellaire, les flottes acquièrent de telles dimensions  »

Extrait de : P. Anderson. « Dominic Flandry – Flandry, défenseur de l’Empire Terrien. »

Une fille de pasteur par G. Orwell

Fiche d’Une fille de pasteur

Titre : Une fille de pasteur
Auteur : G. Orwell
Date de parution : 1935
Traduction : S. Chupin
Editeur : Le livre de poche

Première page d’Une fille de pasteur

« Lorsque le réveil retentit sur la commode telle une épouvantable petite bombe de bronze, Dorothy, arrachée des profondeurs d’un rêve complexe et troublant, sursauta et se redressa en regardant les ténèbres dans un état d’épuisement extrême.
Les vociférations irritantes, féminines du réveil continuaient et pouvaient durer cinq minutes si on n’y mettait pas fin. Dorothy se sentait endolorie de la tête aux pieds et, sous le coup d’une complaisance envers elle-même insidieuse et méprisable, qui la prenait en général au moment de se lever, elle s’enfouit la tête sous la couverture pour tenter de chasser ce tintamarre de ses oreilles. Elle luttait pourtant contre le sommeil et, selon son habitude, s’exhortait sans ménagement à la deuxième personne du pluriel. Allez, Dorothy, levez-vous ! Pas de roupillon, je vous prie ! Proverbes, VI, 9. Puis, s’avisant que le bruit allait réveiller son père s’il ne cessait pas sur-le-champ, elle bondit du lit, saisit le réveil et arrêta  »

Extrait de : G. Orwell. « Une fille de pasteur. »