Étiquette : Konnar le barbant

 

Sur la piste des Rollmops par Pierre Pelot

Fiche de Sur la piste des Rollmops

Titre : Sur la piste des Rollmops (Tome 2 sur 5 – Konnar le barbant)
Auteur : Pierre Pelot
Date de parution : 1991
Editeur : Fleuve noir

Première page de Sur la piste des Rollmops

« Où l’on retrouve Gilbert le Barbant (Lafolette pour l’état civil), monté en grade et devenu fils pratiquement adoptif et spirituel du Grand Konnar. Et si on le retrouve, c’est que sa présence est la moindre des choses au départ de ses nouvelles aventures.

D’accord, nous retrouvons Gilbert, mais juste le temps pour lui de nous dire un mot : — ’alut.

Parce que nous tombons plutôt mal, à un mauvais moment, en pleine rage de dents. À moins qu’il ne s’agisse d’une migraine. Bref, une de ces saletés qui vous rendent tout à fait indisponible à tout et à tous, n’importe quoi et n’importe qui, du dernier tremblement de terre en vadrouille sur les cimes de l’échelle de Richter à Madonna la mythique. C’est pas peu dire. Alors, nous mêmes comme vous autres, en comparaison… »

Extrait de : P. Pelot. « Sur la piste des Rollmops – Konnar le barbant. »

Le fils du grand Konnar par Pierre Pelot

Fiche de Le fils du grand Konnar

Titre : Le fils du grand Konnar (Tome 1 sur 5 – Konnar le barbant)
Auteur : Pierre Pelot
Date de parution : 1990
Editeur : Bragelonne

Première page de Le fils du grand Konnar

« Nul ne sait, parmi les mortels – qui sont tout de même légion à s’agiter et à faire du bruit entre l’instant où ils tombent au monde et cet autre instant où ils le quittent – où se situe véritablement le pays des Héros.

Nul.

Et même, à bien y réfléchir, parmi les Héros. Car il s’en trouve nombre qui, partis en mission Dieux savent où, en vacances, ou n’importe quoi, ne sont même plus foutus de retrouver leur chemin et de rentrer chez eux – un peu sonnés, sans doute par leurs péripéties sur les continents, plus ou moins déphasés, incapables d’actionner un distributeur de billets qui leur permettrait de sauter dans le premier train pour le voyage de retour. (C’est ainsi que parfois l’on croise, hâves, balbutiants, mal hardés, ces pauvres hères qui vous demandent un euro, se prétendant capables avec ça d’entreprendre le Grand Voyage – et nous les repoussons de notre mépris, feignons de les ignorer, et nous avons bien tort : souventement le fieffé que nous piétinons de notre mépris n’est pas moins qu’un valeureux mais malchanceux Héros, égaré dans les pièges du quotidien sur la terre des mortels.) »

Extrait de : P. Pelot. « Le Fils du Grand Konnar – Konnar le barbant. »