Étiquette : Les enfants de la nuit

 

Les enfants de la nuit par Z. Henderson

Fiche de Les enfants de la nuit

Titre : Les enfants de la nuit
Auteur : Z. Henderson
Date de parution : 1971
Traduction : P. Goffin
Editeur : Marabout

Sommaire de Les enfants de la nuit

  • Ceux qu’on n’oublie pas
  • Destination : Nulle part
  • Vous savez quoi, mademoiselle ?
  • Les effectifs
  • Loo Ree
  • L’école la plus proche
  • A l’abri dans un triangle
  • Tante Sophronie
  • Une enfant naïve
  • Un don de double vue
  • Pas plus compliqué que cela
  • Appartement garni
  • L’une d’elles
  • L’heure du partage
  • Ad astra
  • Avant, pendant, après
  • Les murs
  • Le couronnement de la gloire
  • Boona dans le cosmos
  • Trois petits tours pour un amour

Première page de Ceux qu’on n’oublie pas

« J’ai toujours eu les pieds bien sur terre. Quand je relis cette phrase, j’ai envie de sourire. Je vois cela différemment, maintenant. Bref, réaliste et légèrement sceptique, voilà des épithètes qui pourraient me décrire. J’ai profité – peut-être avec un rien d’envie – des fantômes des autres, des coïncidences qui vous coupent le souffle, des histoires de soucoupes volantes, de tables tournantes et de rêves prophétiques, mais jamais je n’ai fait d’expérience personnelle. Je suppose qu’il faut être très déterminée, ou très naïve – non pas puérile – pour garder ses illusions tout au long d’une existence vouée à l’enseignement. « Existence », cela semble terriblement vieux jeu, non ? Mais, de plus en plus, je sens que le rôle d’observatrice me convient mieux que celui de participante. »

Extrait de : Z. Henderson. « Les enfants de la nuit. »

Les enfants de la nuit par F. Pohl

Fiche de Les enfants de la nuit

Titre : Les enfants de la nuit
Auteur : F. Pohl
Date de parution : 1984
Traduction : P. Billon
Editeur : Denoël

Sommaire de Les enfants de la nuit

  • La machine à filmer le temps par T. L. Sherred
  • Les enfants de la nuit par F. Pohl

Première page de Les enfants de la nuit

«  Nous nous sommes déjà rencontrés, dis-je à Haber. Cela se passait en 1988, lorsque vous dirigiez le bureau de Des Moines. »

Il s’épanouit et tendit la main : « Mais c’est vrai, bon sang ! Je me souviens à présent, Odin.

— Je n’aime guère que l’on m’appelle Odin.

— Vraiment ? Très bien, Mr. Gunnarsen…

— Pas davantage Mr. Gunnarsen. Simplement Gunner.

— C’est vrai, Gunner ; j’avais presque oublié.

— Non, vous ne l’aviez pas oublié. Vous ne connaissiez même pas mon nom à Des Moines. Vous ne saviez même pas que j’étais vivant, car vous étiez trop occupé à assurer la défaite de notre client dans l’État. Je vous ai tiré de là à cette époque comme je me prépare à vous tirer de là cette fois. »

Extrait de : F. Pohl. « Les enfants de la nuit. »