Étiquette : Ballard
Cauchemar à quatre dimensions par J. G. Ballard
Fiche de Cauchemar à quatre dimensions
Titre : Cauchemar à quatre dimensions
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 1963
Traduction : G. Garson, P. Versins
Editeur : Denoël
Sommaire de Cauchemar à quatre dimensions
- Les voix du temps
- Le vide-sons
- L’homme saturé
- Treize pour le centaure
- Le jardin du temps
- La cage de sable
- Les tours de guet
- Chronopolis
Première page de Les voix du temps
« Plus tard, Powers pensa souvent à Whitby, et aux étranges sillons qu’avait creusés le biologiste au hasard apparemment, sur tout le fond de la piscine vide. Profonds de deux centimètres et longs de huit mètres, entrelacés pour former un idéogramme fouillé semblable à un caractère chinois, il lui avait fallu tout l’été pour les terminer, et il n’avait évidemment pas pensé à grand-chose d’autre, toujours à travailler tout au long des après-midi déserts. De la fenêtre de son bureau, à l’extrémité de l’aile de Neurologie, Powers l’avait observé, qui jalonnait soigneusement avec chevilles et cordeau, et qui transportait les débris de ciment dans un petit seau en toile. Après le suicide de Whitby, nul ne s’était inquiété des sillons, mais Powers empruntait souvent la clé du surveillant pour aller dans la piscine désaffectée étudier le labyrinthe de rigoles effritées, qu’emplissait à moitié l’eau suintant de l’appareil de javellisation : une énigme à présent insoluble.
Au début toutefois, Powers était trop préoccupé par l’achèvement de son travail à la clinique et par ses projets de départ. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Cauchemar à quatre dimensions. »
Billenium par J. G. Ballard
Fiche de Billenium
Titre : Billenium
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 1962
Traduction : L. Massun
Editeur : Marabout
Sommaire de Billenium
- Billenium
- Les fous
- Studio 5, les étoiles
- Un assassin très comme il faut
- Urbi et orbi
- Trois,deux, un … zéro
- Mobile
- Chronopolis
- Prima Belladonna
- Le jardin du temps
Première page de Billenium
« Tout au long de la journée, et souvent même dès les premières lueurs de l’aube, le bruit lourd des pas résonnait dans les escaliers qu’on montait et descendait, tout contre l’habitacle où vivait Ward. Encastrées dans un recoin exigu de la cage d’escalier, entre le quatrième et le cinquième étage, ses parois de contre-plaqué se pliaient et grinçaient à chaque pas comme la charpente d’un vieux moulin. Plus de cent personnes vivaient dans les trois étages supérieurs du vieil immeuble à appartements et, parfois, Ward, qui se tenait éveillé jusqu’à deux ou trois heures du matin, allongé sur son lit-placard, se prenait à compter, un par un, les derniers locataires qui rentraient des cinémas permanents du stade, situé à un kilomètre de là. Par la fenêtre, lui parvenaient des bribes de dialogues que les haut-parleurs faisaient ricocher entre les toits des immeubles voisins. Le stade ne désemplissait jamais. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Billenium. »
Appareil volant à basse altitude par J. G. Ballard
Fiche de Appareil volant à basse altitude
Titre : Appareil volant à basse altitude
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 1976
Traduction : E. Gille
Editeur : Denoël
Sommaire de Appareil volant à basse altitude
- L’ultime cité
- Appareil volant à basse altitude
- L’astronaute mort
- Je rêvais de m’envoler vers l’île de Wake
- La vie et la mort de Dieu
- Le plus grand spectacle de télévision au monde
- Un lieu et un moment pour mourir
- Les anges des Satcom
- Les assassinats de la plage
Première page de L’ultime cité
« De tout l’hiver, en travaillant au planeur, Halloway n’avait pas très bien su ce qui le poussait à construire ce dangereux appareil, aux ailes disgracieuses et au fuselage bossu. Même à présent, accroupi dans le cockpit pendant les dernières secondes qui précédaient son premier vol, il se demandait encore pourquoi il attendait là, perché sur les falaises abruptes au-dessus du Sound, d’être catapulté sur ces eaux violemment éclairées. Les ailes effilées frémissaient dans l’air glacé, comme si l’avion rassemblait ses forces pour éventrer le cockpit et en éjecter le téméraire pilote sur la plage en contrebas.
Halloway et ses aides — des gamins de dix ans qui lui servaient de coolies et de claque enthousiaste — s’y étaient pris dès l’aube pour traîner le planeur depuis la grange, derrière la maison de son grand-père, jusqu’aux falaises et le relier à la catapulte. Quand ils y étaient arrivés, les autres concurrents du championnat de vol à voile avaient déjà pris l’air depuis des heures. Halloway voyait de son cockpit une douzaine d’appareils bariolés suspendus au-dessus de sa tête dans le ciel calme. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Appareil volant à basse altitude. »
1972 à 1996 par J. G. Ballard
Fiche de 1972 à 1996
Titre : 1972 à 1996 (Tome 3 sur 3 – Nouvelles complètes)
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 2001
Traduction : J. Bonnefoy, J. Chambon, M. Demuth, E. Gille, M. Lebailly, F. Perrin, B. Sigaud
Editeur : Tristram
Sommaire de 1972 à 1996
- Le plus grand spectacle de télévision du monde
- Je rêvais de m’envoler vers l’île de Wake
- Catastrophe aérienne
- Appareil volant à basse altitude
- La vie et la mort de Dieu
- Notes pour une déconstruction mentale
- Le zoom à 60 minutes
- Le sourire
- L’ultime cité
- Le temps mort
- Index
- Unité de soins intensifs
- Théâtre de guerre
- Des vacances formidables
- Un après-midi à Utah Beach
- Zodiaque 2000
- Décor de motel
- Hôte de furieux fantasmes
- Nouvelles du soleil
- Mémoires de l’ère spatiale
- Mythes d’un futur proche
- Rapport sur une station spatiale non identifiée
- Ce que je crois
- L’autobiographie secrète de J. G. B***
- La cible de l’attentat
- Réponses à un questionnaire
- L’homme qui a marché sur la Lune
- L’histoire secrète de la Troisième Guerre Mondiale
- L’amour sous un climat plus froid
- Univers en expansion
- Le plus grand parc d’attractions du monde
- Fièvre guerrière
- Cargaisons de rêve
- Neil Armstrong se souvient de son voyage dans la Lune
- Guide de la mort virtuelle
- Le message de Mars
- Rapport sur une planète obscure
- Mortel penchant
- Midi le violent
Première page de Le plus grand spectacle de télévision du monde
« La découverte en 2001 d’un système efficace de voyage dans le temps eut nombre de répercussions importantes, mais dans le domaine de la télévision plus encore qu’ailleurs. Le dernier quart du XXe siècle avait connu un développement spectaculaire de la télévision sur tous les continents du globe, et les programmes diffusés par les énormes réseaux américains, européens et afro-asiatiques attiraient des milliards de téléspectateurs. Cependant, malgré leurs ressources financières considérables, les compagnies de télévision souffraient d’une pénurie chronique d’informations et de divertissements. La guerre du Viêtnam, premier conflit télévisuel, avait offert aux téléspectateurs des sensations enivrantes grâce aux émissions en direct des champs de bataille, mais les guerres en général, pour ne pas dire les activités intéressantes en tout genre, étaient en voie d’extinction, la population mondiale se consacrant presque exclusivement au spectacle de la télévision. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Nouvelles complètes 1972 / 1996. »
1963 à 1970 par J. G. Ballard
Fiche de 1963 à 1970
Titre : 1963 à 1970 (Tome 2 sur 3 – Nouvelles complètes)
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 2001
Traduction : G. Abadia, P. Alpérine, P. Billon, M. Demuth, A. Dorémieux, P.-P. Durastanti, E. Gille, P. R. Hupp, M. Jakubovski, R. Lathière, A. Le Bussy, R. Louit, B. Martin, H.-L. Planchat, C. Renard, P. K. Rey, F. Rivière, B. Sigaud, F.-M. Watkins
Editeur : Tristram
Sommaire de 1963 à 1970
- L’homme subliminal
- La fosse aux reptiles
- Trajectoire imprécise
- Les tombes du temps
- Maintenant s’éveille la mer
- Les chasseurs de Vénus
- Fin de partie
- Moins un
- Soudain l’après-midi
- Le jeu des écrans
- Temps de passage
- Du fond des âges
- Le Vinci disparu
- L’ultime plage
- L’homme enluminé
- Le delta au coucher du soleil
- Le géant noyé
- La Joconde du midi crépusculaire
- Les danses du volcan
- Les assassinats de la plage
- Le jour d’éternité
- L’homme impossible
- Oiseau des tempêtes, rêveur des tempêtes
- Demain dans un million d’années
- L’assassinat de John Fitzgerald Kennedy considéré comme une course de descente automobile
- Cri d’espoir, cri de fureur
- Identification
- Les sculpteurs de nuages de Coral D
- Pourquoi je veux baiser Ronald Reagan
- L’astronaute mort
- Les anges des Satcom
- Champ de bataille
- Un lieu et un moment pour mourir
- La traversée du cratère précédé de Notes de nulle part
- Coitus 80 : une description de l’acte sexuel en 1980
- Dites au revoir au vent
Première page de L’homme subliminal
« Les panneaux, docteur ! Vous avez vu les panneaux ? » Fronçant les sourcils d’un air agacé, le Dr Franklin pressa le pas et descendit à vive allure les marches du perron de l’hôpital pour rejoindre la rangée de voitures en stationnement. Il aperçut du coin de l’œil un jeune homme en sandales usagées et jean taché de peinture qui lui faisait signe depuis l’autre bout de l’allée.
« Docteur Franklin, les panneaux ! »
Le front baissé, Franklin évita de justesse un couple âgé qui se dirigeait vers le service de consultation. Sa voiture était garée à plus de cent mètres de là. Trop fatigué pour se mettre à courir, il se laissa rattraper par le jeune homme.
« Eh bien, Hathaway, fit-il d’un ton cassant, qu’est-ce qu’il y a, cette fois-ci ? Je commence à en avoir assez de vous voir traîner à longueur de temps dans les parages. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Nouvelles complètes 1963 / 1970. »
1956 à 1962 par J. G. Ballard
Fiche de 1956 à 1962
Titre : 1956 à 1962 (Tome 1 sur 3 – Nouvelles complètes)
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 2001
Traduction : G. Abadia, L. Casseau, M. Demuth, A. Dorémieux, P.-P. Durastanti, G. Garson, P. Versins, R. Louit, L. Massun, P. K. Rey, A. Rosenblum, B. Sigaud, F. Straschitz
Editeur : Tristram
Sommaire de 1956 à 1962
- Prima Belladonna
- Echappement
- La ville concentrationnaire
- Le sourire de Vénus
- Trou d’homme n°69
- La plage 12
- Les terrains d’attente
- Trois, deux, un, zéro !
- Le débruiteur
- Zone de terreur
- Chronopolis
- Les voix du temps
- Le dernier monde de M. Goddard
- Numéro 5, les étoiles
- Fin fond
- L’homme saturé
- Régression
- Billénium
- Un assassin très comme il faut
- Les fous
- Le jardin du temps
- Les mille rêves de Stellavista
- Treize pour le Centaure
- Passeport pour l’éternité
- La cage de sable
- Les tours de guet
- Les statues qui chantent
- L’homme au 99e étage
Première page de Prima Belladonna
« Je fis la connaissance de Jane Ciracylides pendant l’Intercalaire, cette dépression mondiale d’ennui léthargique et de chaleur estivale qui nous entraîna allègrement dans dix années inoubliables, et je suppose que ces circonstances influencèrent fortement ce qui se passa alors entre nous. Je ne peux assurément croire que je me rendrais aussi ridicule aujourd’hui, mais il se peut aussi que cela ait tenu à la seule personnalité de Jane.
Quoi qu’on ait pu dire sur son compte, tout le monde s’accordait à reconnaître que c’était une belle plante, même si ses antécédents génétiques étaient quelque peu mélangés. Les mauvaises langues de Vermilion Sands décidèrent bientôt qu’il y avait du mutant en elle, en raison de la patine somptueuse de sa peau dorée et de ses yeux qui ressemblaient à des insectes. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Nouvelles complètes 1956 / 1962. »
I. G. H. par J. G. Ballard
Fiche de I. G. H.
Titre : I. G. H. (Tome 3 sur 3 – Béton)
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 1975
Traduction : R. Louit
Editeur : Presses Pocket
Première page de I. G. H.
« PLUS tard, installé sur son balcon pour manger le chien, le Dr Robert Laing réfléchit aux événements insolites qui s’étaient déroulés à l’intérieur de la gigantesque tour d’habitation au cours des trois derniers mois. Maintenant que les choses avaient repris leur cours normal, il constatait avec surprise l’absence d’un début manifeste, d’un seuil précis au-delà duquel leurs existences avaient pénétré dans une dimension nettement plus inquiétante. Avec ses quarante étages et ses mille appartements, ses piscines et son supermarché, sa banque et son école primaire – tout cela, en fait, livré à l’abandon en plein ciel –, la tour n’offrait que trop de possibilités de violences et d’affrontements. Son propre deux-pièces au vingt-cinquième étage était bien le dernier endroit que Laing eût envisagé comme théâtre d’un premier
accrochage. S’il avait acheté, après son divorce, cette cellule hors de prix, fichée comme à l’aveuglette dans le front de falaise de l’immeuble, c’était précisément à cause de sa tranquillité et de son anonymat. »
Extrait de : J. G. Ballard. « I.G.H. – Béton. »
L’île de béton par J. G. Ballard
Fiche de L’île de béton
Titre : L’île de béton (Tome 2 sur 3 – Béton)
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 1973
Traduction : G. Fradier
Editeur : Le livre de poche
Première page de L’île de béton
« Le 22 avril 1973, peu après trois heures de l’après-midi un architecte nommé Robert Maitland, âgé de trente-cinq ans, roulait vers la sortie de l’échangeur de l’ouest, à la périphérie de Londres. À six cents mètres du raccordement au nouveau tronçon de l’autoroute M4, alors que la Jaguar avait dépassé la vitesse limitée à 110 kilomètres-heure, le pneu de la roue avant droite éclata. Maitland crut que l’explosion, répercutée par le parapet de ciment, se produisait dans son crâne. Il eut encore quelques secondes pour s’agripper au volant, étourdi du coup qu’il avait reçu en cognant de la tête contre le chrome de la portière. La voiture zigzaguait sur toute la largeur des voies désertes, ses mains couraient sur le volant, secouées comme des bras de pantin. Le pneu en loques dessinait des diagonales noires sur les bandes de guidage qui suivaient la longue courbe du talus de l’autoroute. »
Extrait de : J. G. Ballard. « L’Île de béton – Béton. »
Crash ! par J. G. Ballard
Fiche de Crash !
Titre : Crash ! (Tome 1 sur 3 – Béton)
Auteur : J. G. Ballard
Date de parution : 1973
Traduction : R. Louit
Editeur : Gallimard
Première page de Crash !
« Vaughan est mort hier dans son dernier accident. Le temps que dura notre amitié, il avait répété sa mort en de multiples collisions, mais celle-là fut la seule vraie. Lancée vers la limousine de l’actrice, sa voiture a franchi le garde-corps du toboggan de l’aéroport de Londres et plongé à travers le toit d’un car rempli de voyageurs. Les corps broyés en grappes des touristes, comme une hémorragie du soleil, étaient toujours plaqués sur les sièges de vinyle lorsque je me suis frayé un chemin parmi les techniciens de la police, une heure plus tard. Cramponnée au bras de son chauffeur, l’actrice Elizabeth Taylor, avec qui Vaughan avait depuis tant de mois rêvé de mourir, se tenait à l’écart sous les feux tournants de l’ambulance. Quand je me suis penché au-dessus de Vaughan, elle a porté une main gantée à sa gorge.
Voyait-elle, dans la position du corps, la formule de mort que Vaughan avait conçue pour elle ? Les dernières semaines de sa vie, Vaughan ne pensait qu’à la mort de l’actrice, à ce sacre des blessures qu’il avait mis en scène avec la dévotion d’un chef du protocole. »
Extrait de : J. G. Ballard. « Crash ! – Béton. »
James Graham Ballard
Présentation de James Graham Ballard :
Enfance et jeunesse
James Graham Ballard, plus connu sous le nom de J. G. Ballard, est né le 15 novembre 1930 à Shanghai, en Chine, d’un père britannique et d’une mère chinoise. Son enfance est marquée par l’internement de sa famille dans un camp de prisonniers japonais pendant la Seconde Guerre mondiale, une expérience qui aura un impact profond sur son œuvre littéraire.
Après la guerre, Ballard retourne en Angleterre avec sa famille et poursuit ses études à la Leys School de Cambridge. Il enchaîne ensuite des études de médecine et de littérature anglaise, qu’il abandonne finalement pour se consacrer à l’écriture.
Carrière littéraire
La carrière littéraire de Ballard débute dans les années 1950 avec la publication de nouvelles dans des revues de science-fiction. Son premier roman, « Le Monde englouti » (1962), rencontre un succès immédiat et le propulse sur la scène littéraire internationale.
Ballard est considéré comme l’un des auteurs les plus importants de la science-fiction du XXe siècle. Son œuvre explore des thèmes tels que l’aliénation, la technologie, la violence, la sexualité et la mort, souvent dans des contextes dystopiques ou post-apocalyptiques.
Parmi ses romans les plus célèbres, on peut citer « Crash » (1973), « L’Empire du Soleil » (1984) et « High-Rise » (1975). Ses romans ont été adaptés au cinéma par des réalisateurs renommés tels que David Cronenberg et Steven Spielberg.
Style et thèmes
Le style de Ballard est caractérisé par sa précision clinique, son imagerie saisissante et son exploration de l’étrange et du dérangeant. Ses romans sont souvent empreints d’une atmosphère sombre et pessimiste, mais ils offrent également une réflexion profonde sur la condition humaine.
Les thèmes récurrents de l’œuvre de Ballard incluent :
- L’impact de la technologie sur la société et l’individu
- La perte d’identité et la fragmentation du moi
- La violence et la sexualité
- La relation entre l’homme et son environnement
Héritage
J. G. Ballard est décédé le 19 avril 2009 à Londres. Il laisse derrière lui une œuvre riche et complexe qui continue d’inspirer et de fasciner les lecteurs du monde entier. Il est considéré comme l’un des auteurs les plus importants et influents de la science-fiction du XXe siècle.
Ouvrages majeurs
- Le Monde englouti (1962)
- Uncanny Valley (1970)
- Crash (1973)
- L’Empire du Soleil (1984)
- High-Rise (1975)
- La Forêt de Cristal (1994)
Prix et distinctions
- Prix Nebula du meilleur roman (1973) pour Crash
- Prix James Tait Black Memorial (1984) pour L’Empire du Soleil
- Prix Guardian Fiction (1996) pour La Forêt de Cristal
Livres de James Graham Ballard :
Béton :
- Crash ! (1973)
- L’île de béton (1973)
- I. G. H. (1975)
Nouvelles :
Intégrales :
- La trilogie de béton (2015)
Appareil volant à basse altitude (1976)
Billenium (1962)
Cauchemar à quatre dimensions (1963)
La course au paradis (1994)
La face cachée du soleil (1996)
La forêt de cristal (1966)
La plage ultime (1964)
La région du désastre (1967)
La vie et rien d’autre (2008)
Le livre d’or (1980)
Le massacre de Pangbourne (1988)
Le monde englouti (1962)
Le rêveur illimité (1979)
Le salon des horreurs (1969)
Le vent de nulle part (1962)
Les chasseurs de Vénus (1980)
Mythe d’un futur proche (1982)
Salut l’Amérique ! (1981)
Sauvagerie (1988)
Sécheresse (1965)
Super-Cannes (2000)
Vermilion sands (1971)
Pour en savoir plus sur James Graham Ballard :
La page Wikipédia de J. G. Ballard
La page Noosfere de J. G. Ballard
La page isfdb de J. G. Ballard