Étiquette : Opta
Anackire par T. Lee

Fiche d’Anackire
Titre : Anackire (Tome 2 sur 2 – Guerres de Vis)
Auteur : T. Lee
Date de parution : 1983
Traduction : F. Maillet
Editeur : Opta
Première page d’Anackire
« Depuis le commencement, autant qu’on s’en souvînt, les races sombres avaient dominé le plus grand continent de la planète et lui avaient donné leur nom : Vix.
Au nord, à l’ouest et à l’est, s’étendaient les terres vix, gouvernées par des hommes à la peau noire ou cuivrée, des terres cruelles et souvent fascinantes, et un peuple fascinant et souvent cruel, aux divinités nombreuses et variées. Un peuple qui obéissait à l’étrange stimulus érotique de l’Étoile Rouge, Zastis, qui apparaissait chaque année durant plusieurs mois dans ses cieux nocturnes. Un peuple s’enorgueillissant de vivre en paix après une longue histoire guerrière, et mythologiquement unifié sous le règne d’un roi titulaire et absolu – le Seigneur des Tempêtes, souverain de Dorthar et de la cité dragon, »
Extrait de : T. Lee. « Guerres de Vis – Anackire. »
Le seigneur des tempêtes par T. Lee

Fiche de Le seigneur des tempêtes
Titre : Le seigneur des tempêtes (Tome 1 sur 2 – Guerres de Vis)
Auteur : T. Lee
Date de parution : 1976
Traduction : E. C. L. Meistermann
Editeur : Opta
Première page de Le seigneur des tempêtes
« LA SORCIÈRE D’AMBRE
Le grand bol renversé du ciel des Plaines était trempé de sang du soleil couchant. Le soleil lui-même était tombé derrière le Bord du Monde. Maintenant, avant le lever de la lune, une unique étoile écarlate gemmait la cape des ténèbres qui se rassemblaient.
Un groupe d’une vingtaine d’hommes traversait les pentes arides – des chasseurs, mais ils ne venaient pas des Plaines. Ils chevauchaient des pur-sang, et l’on voyait çà et là un char léger de chasse de conception xarabienne, et pourtant ce n’étaient pas des Xarabiens. Ils se déplaçaient avec une arrogance particulière presque spécifique, qui affirmait qu’ils étaient étrangers à ce paysage, encore plus sûrement que leur chevelure noire et le hâle bronze noir de leur peau. C’était cependant le métal imitant des écailles qui précisait la nature de leur menace, »
Extrait de : T. Lee. « Guerres de Vis – Le Seigneur des Tempêtes. »
La fin du voyage par F. M. Busby

Fiche de La fin du voyage
Titre : La fin du voyage (Tome 3 sur 3 – Demu)
Auteur : F. M. Busby
Date de parution : 1980
Traduction : D. Lemoine
Editeur : Opta
Première page de La fin du voyage
« Jusqu’au moment précis où les trois vaisseaux encadrèrent l’Astronef Un de Barton, il avait été content de les voir. Manifestement construits sur Terre, ils appartenaient sans doute à la deuxième flotte, et il était temps qu’ils se montrent ! Depuis qu’il était entré en décélération, à quarante-trois jours de Sisshain, il s’attendait plus ou moins à repérer la flotte de renfort. Mais, jusque-là, alors qu’il était à deux jours de Tilara, presque en mesure de communiquer avec cette planète, il n’avait rien vu.
Quand arriva l’appel, Abdul Muhammed était de quart ; l’immense Africain prévint immédiatement »
Extrait de : F. M. Busby. « Demu – La fin du voyage. »
Le choc des races par F. M. Busby

Fiche de Le choc des races
Titre : Le choc des races (Tome 2 sur 3 – Demu)
Auteur : F. M. Busby
Date de parution : 1975
Traduction : S. Hilling
Editeur : Opta
Première page de Le choc des races
« Barton décolla à la verticale.
À un million de kilomètres de la Terre, avec la Lune en quadrature, il coupa les moteurs et mit son vaisseau, Astronef Un, en orbite solaire. Le reste de son escadre, Astronefs Deux à Dix, n’était pas loin derrière. Les trois autres escadres, à leur suite, parurent sur les écrans sous forme de points brillants.
À côté de Barton, son compagnon, grand et puissant comme un ours, se mit à rire. « Départ en flèche, et ensuite, on fait le pied de grue, c’est bien ça ? Quel décollage ! »
— « Je me suis dit que tu voudrais arriver le premier au rendez-vous avec ton vaisseau amiral, Tarleton. Alors, j’ai fait le nécessaire. »
Extrait de : F. M. Busby. « Demu – Le choc des races. »
Dans la cage par F. M. Busby

Fiche de Dans la cage
Titre : Dans la cage (Tome 1 sur 3 – Demu)
Auteur : F. M. Busby
Date de parution : 1976
Traduction : D. Halin
Editeur : Opta
Sommaire de Dans la cage
- Dans la cage
- Lune de miel sur Cetis Gamma Neuf par M. Leinster
Première page de Dans la cage
« Il était une cage
C’était une pièce au plafond gris et bas. Mais qu’est-ce que je fiche au violon ? se demanda Barton. Et pourtant, ça ne sentait pas la vinasse comme au violon ; de plus, il était suffisamment conscient pour constater qu’il n’avait pas la gueule de bois. Il se mit sur son séant et regarda autour de lui. Il s’aperçut alors qu’il était nu, comme d’ailleurs tous les autres. Si c’était là un violon, c’était bien le premier où il voyait rassemblés des hommes et des femmes dans le plus simple appareil. Il faut dire qu’il n’était pas non plus un habitué de ce genre d’endroit.
Où était-il et pourquoi était-il là, il l’ignorait. Il eût certes préféré être ailleurs, un ailleurs qui lui eût été familier ; mais lorsqu’il s’agissait d’imaginer cet ailleurs, il n’y parvenait pas. Cependant cela ne le »
Extrait de : F. M. Busby. « Demu – Dans la cage. »
Le règne des immortels par P. Sargent

Fiche de Le règne des immortels
Titre : Le règne des immortels
Auteur : P. Sargent
Date de parution : 1982
Traduction : F. Maillet
Editeur : Opta
Sommaire de Le règne des immortels
- Le renouveau
- L’autonomie
- La poussière de l’été
- La boucle de la création
- L’espace rêvé
Première page de Le règne des immortels
« LE RENOUVEAU
Josepha regarda l’érable. Il dominait la clairière en face de sa petite maison, marquant la frontière entre la pelouse bien tondue et le champ d’herbes folles. L’arbre était probablement aussi vieux qu’elle-même ; il était déjà là lorsqu’elle avait défriché le terrain pour s’installer dans la maison.
Les autres arbres – les centaines qui bordaient le ruisseau derrière le bâtiment et les milliers qui recouvraient les versants des collines voisines – devaient lutter pour survivre. Avec l’aide des jardiniers, elle avait ramassé le bois mort et à de nombreuses reprises abattu les arbres moribonds. Petit à petit, elle avait pris conscience de changements. Les pins de l’autre côté du ruisseau prospéraient ; les jeunes chênes qui poussaient autrefois près du cercle de pierres plates avaient disparu. »
Extrait de : P. Sargent. « Le règne des immortels. »
L’étrange monsieur Raf par P. Sargent

Fiche de L’étrange monsieur Raf
Titre : L’étrange monsieur Raf
Auteur : P. Sargent
Date de publication : 1983
Traduction : C. Schleissner
Editeur : Opta
Première page de L’étrange monsieur Raf
« Deux faisceaux de lumière blanche perçaient le brouillard, dirigés sur le porche où Sarah était assise. Le camion s’arrêta avec un hoquet. Frissonnant dans l’air humide du matin, Sarah se leva et alla à la balustrade. Deux hommes descendirent de la cabine, qu’ils contournèrent. L’un d’eux dévisagea Sarah avant d’allumer une cigarette. La fumée se confondit avec le brouillard.
Sarah se détourna et retourna à l’intérieur. Le hall d’entrée était humide. Elle trébucha sur la moquette rouge rapiécée et se rattrapa à la rampe de l’escalier. Elle entra dans l’appartement, refermant la porte derrière elle ; Gérard s’activait dans la cuisine.
L’eau bouillait sur le poêle à charbon. « Le nouveau voisin est arrivé », dit-elle. Gérard grogna en »
Extrait de : P. Sargent. « L’étrange Monsieur Raf. »
L’épreuve de Daiya par P. Sargent

Fiche de L’épreuve de Daiya
Titre : L’épreuve de Daiya
Auteur : P. Sargent
Date de publication : 1980
Traduction : G. Lebec
Editeur : Opta
Première page de L’épreuve de Daiya
« Brillante éraflure dans le ciel noir, la comète était un présage tracé par la main de Dieu sur la coupole des ténèbres. Daiya AnraBrun, la tête renversée en arrière, contemplait ce paraphe insolite, s’interrogeant sur sa signification, que nul au village ne semblait connaître. Les Soi-Mêlants eux-mêmes n’osaient se prononcer avec certitude. L’astre errant constituait le phénomène dominant du ciel, éclipsant par sa brillance les feux minuscules qui scintillaient au firmament en rivalisant presque de luminosité avec le Bouclier de la Lune. Daiya songea à son ordalie, dont l’époque approchait ; elle venait juste d’entamer son temps de préparation lorsque la comète était apparue.
Un autre feu, moins lointain, tremblotait dans l’obscurité vers les premiers contreforts des mon- »
Extrait de : P. Sargent. « L’épreuve de Daiya. »
Copies conformes ET L’étoile blanche par P. Sargent

Fiche de Copies conformes ET L’étoile blanche
Titre : Copies conformes
Titre : L’étoile blanche
Auteur : P. Sargent
Date de parution : 1976
Traduction : F. Maillet
Editeur : Opta
Sommaire de Copies conformes ET L’étoile blanche
- Copies conformes
- L’étoile blanche
Première page de Copies conformes
« PAUL : 2000
Tandis que le jet approchait de l’Aéroport Régional de Dallas-Fort Worth, Paul Swenson aperçut la première des boucles circulaires qui composaient l’immense structure utilitaire et monotone. Treize cercles, même si Paul ne pouvait tous les voir de son siège, chacun d’eux mesurant plus d’un kilomètre et demi de circonférence, et renfermant chacun six sous-terminaux, treize cercles alignés sur la plaine du Texas. Les boucles circulaires étaient reliées entre elles par une sorte d’épine dorsale les traversant en leur milieu, et des routes rayonnaient de l’aéroport vers Dallas et Fort Worth. »
Extrait de : P. Sargent. « Copies conformes – L’étoile blanche. »
Quête sans fin par A. E. van Vogt

Fiche de Quête sans fin
Titre : Quête sans fin
Auteur : A. E. van Vogt
Date de parution : 1952
Traduction : B. Martin
Editeur : Opta
Sommaire de Quête sans fin
- Mission stellaire
- Quête sans fin
Première page de Quête sans fin
« Les cent délégués au congrès des fabricants d’électronique qui avaient assisté au spectacle commençaient à se diriger vers les portes.
Plusieurs de leurs femmes étaient également présentes et leurs voix aiguës se mêlaient à celles, plus graves, des hommes. Les sons se perdaient vite dans les profondeurs de l’hôtel, mais le señor del Corteya, quittant soudain son travail des yeux, constata qu’il n’était pas encore seul.
Il continua à rembobiner le film, le remit dans sa boite métallique et entreprit de remballer le projecteur. Il examinait l’autre du coin de l’œil avec cette intensité de curiosité et de spéculation propre aux Latins. Enfin, son ouvrage terminé, il se retourna et s’enquit : « Est-ce à moi que vous désirez parler, señor ?»
L’homme de haute taille hésita, puis s’avança. C’était un individu massif, aux yeux bruns, au cheveu rare, qui pouvait avoir dans les quarante ans.
— « Curieux film que vous nous avez montré ce soir. »
Extrait de : A. E. Van Vogt. « Quête sans fin. »