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Le maître des ombres par R. Zelazny

Fiche de Le maître des ombres
Titre : Le maître des ombres
Auteur : R. Zelazny
Date de parution : 1978
Traduction : B. Martin
Editeur : Pocket
Première page de Le maître des ombres
« Lorsque Jack, dont le nom se prononce dans l’ombre, se redit à Iglès dans le pays de la pénombre pour y assister aux Jeux d’Enfer, il arriva que sa présence fut remarquée tandis qu’il examinait la position de la Flamme d’Enfer.
La Flamme d’Enfer était une urne mince remplie de feux argentés disposés avec grâce, soutenant à l’extrémité de leurs doigts de flamme un rubis de la dimension du poing. Ces doigts le serraient d’une étreinte impossible à rompre et la pierre précieuse brillait froidement malgré les flammes.
Certes, la Flamme d’Enfer était présentée pour que tous la contemplent, mais le fait de voir Jack en train de la regarder amena bien de la consternation. Arrivé depuis peu à Iglès, il passait entre les lanternes, suivant la file des autres curieux à travers le pavillon d’exposition démuni de parois, quand on l’observa pour la première fois. Il fut reconnu par Smage et Quazer qui avaient quitté »
Extrait de : R. Zelazny. « Le Maître Des Ombres. »
Le livre d’or par R. Zelazny

Fiche de Le livre d’or
Titre : Le livre d’or de la science-fiction
Auteur : R. Zelazny
Date de parution : 1983
Traduction : J. Bailhache, D. Hersant
Editeur : Pocket
Sommaire de Le livre d’or
- Le mystère de la passion
- Corrida
- L’assassinat politique considéré comme une attraction foraine
- En exposition
- Le cadeau des Borgia
- Le monstre et la pucelle
- La véritable histoire d’Ulysse et de la fée Circée
- La sangsue mécanique
- Evasions
- Que vienne le pouvoir
- Clefs pour décembre
- Lumière lugubre
- L’homme qui aimait la faïoli
- Une plage au bout du chemin
- Les amours de vacances
- Le temps d’un souffle, je m’attarde
- Le chant du babouin bleu
- Une effroyable et merveilleuse beauté
- La fièvre du collectionneur
- L’anneau du roi Salomon
- Le jeu de cendre et de sang
- La route de Dilfar
- Thelinde chantait
- Le dernier rempart de Camelot
- L’amour est un nombre imaginaire
Première page de Le mystère de la passion
« Je voulais écrire depuis des années, mais je n’en eus pas le loisir avant d’avoir terminé ma thèse et trouvé un emploi de fonctionnaire du gouvernement. Je fus affecté à un bureau de Dayton, dans l’Ohio, pour y faire un stage d’initiation, et je m’y présentai le 26 février 1962. Ayant décidé de tâter de la science-fiction, je passai une semaine à lire les principaux magazines spécialisés et quelques livres de poche pris au hasard. Et je me mis au travail ; écrivant tous les soirs, je concoctais plusieurs nouvelles par semaine. Elles m’étaient refusées par les magazines auxquels je les envoyais jusqu’au jour où Cele Goldsmith m’informa qu’elle allait publier ce conte, « Le mystère de la passion ». Il parut en août 1962 dans un numéro de Amazing Stories.
À tort ou à raison je vis là un cas presque classique de Clairvoyance appliquée : juste avant d’écrire cette nouvelle, j’avais fait une chose que je n’avais jamais faite auparavant. J’avais rassemblé toutes les nouvelles qui m’avaient été refusées, et j’avais passé une soirée à les relire pour essayer de »
Extrait de : R. Zelazny. « Le livre d’or de la science-fiction. »
L’homme qui n’existait pas par R. Zelazny

Fiche de L’homme qui n’existait pas
Titre : L’homme qui n’existait pas
Auteur : R. Zelazny
Date de parution : 1976
Traduction : B. Martin
Editeur : Pocket
Première page de L’homme qui n’existait pas
« LA VEILLE DE RUMOKO
J’étais dans le poste de commande quand le groupe J-9 nous a complètement lâchés. J’y étais pour quelques travaux idiots d’entretien, entre autres.
Ils étaient deux, en bas, dans la capsule, à inspecter la Route de l’Enfer, ce puits foré au fond de l’océan, à des milliers de brasses au-dessous de nous, qui serait bientôt ouverte à la circulation. En temps normal, je ne m’en serais nullement occupé, puisque nous avions deux techniciens de J-9 dans le personnel. Seulement l’un d’eux était en congé à Spitzbergen et l’autre avait dû entrer à l’hôpital le matin même. Alors qu’une alliance soudaine du vent et des flots turbulents faisait balancer l’Aquina et que je songeais que nous étions précisément à la veille de RUMOKO, je pris ma décision. Après avoir traversé la salle, j’ouvris un panneau latéral. »
Extrait de : R. Zelazny. « L’homme qui n’existait pas. »